Le Comité d’organisation du « daaka » de Madina Gounass (département de Vélingara) affiche, après quelques jours de retraite spirituelle, un « satisfécit presque total » de l’organisation et du déroulement de l’édition, selon Cheikh Ahmad Tidiane Kébé, secrétaire général de la Fondation Dental Daaka et chargé de la coordination de l’organisation du « daaka ». Assimilant l’organisation de la présente édition à une « année de rupture », M. Kébé renseigne que le coordonnateur de la Fondation et président du Comité d’organisation, Thierno Amadou Bâ (plus connu sous le nom de Ambayel) est un fils du khalife qui reçoit et répercute les recommandations du guide pour une bonne organisation.
D'après Le Soleil, il s’y ajoute que le comité a pris en charge, par sa commission accueil, restauration et hébergement, la nourriture de tous les agents des services étatiques déployés sur le terrain en sus d’un appui financier. « C’est certes une lourde logistique, mais nous nous en tirons jusque-là avec nos différentes commissions qui comptent chacune au moins une quinzaine de membres et un président. Nous sommes à pied d’œuvre depuis avant le daaka et nous n’avons pas encore connu de couac majeur », explique Cheikh Ahmad Tidiane Kébé.
Pour la restauration, le Comité a fait venir des traiteurs qui déploient une quinzaine de grosses marmites (« mbana ») quotidiennement pour que tout se passe bien. Il n’y a que des hommes, de « véritables cordons bleus » qui officient chez ces traiteurs.
L’obstacle non résolu pour le moment est celui des vendeurs ambulants qui squattent la mosquée et ses alentours. La commission sécurité essaie de faire face avec ses 50 agents, aux gilets verts, qui essaient de les chasser pendant les heures de prière et de « wazifa ». La crainte du chargé de l’organisation est qu’au fil des jours la circulation devienne plus difficile du fait que certains commerçants ont déjà obstrué les voies menant à la mosquée par une juxtaposition de leurs marchandises. « Le Comité d’organisation est décidé à en finir avec cette vieille habitude après leur avoir donné du répit ces dernières années ».
L’eau comme l’électricité sont bien disponibles au « Daaka » très bien éclairé le soir. Il existe néanmoins des « zones où l’accès à l’eau est difficile du fait d’une tuyauterie abimée à l’ouest de la mosquée pendant la construction des abris ». Les quatre forages du « Daaka » sont fonctionnels.
Le Comité tire son chapeau à la société d’électricité nationale qui s’est déployée un mois avant la retraite spirituelle et s’est dotée d’un budget de l’ordre de 350 millions de FCfa, selon M. Kébé. Les autres services sont venus une semaine avant le démarrage excepté les opérateurs de téléphonie qui ne sont intervenus qu’au démarrage de la retraite.
Si le « Daaka » attire des milliers de pèlerins, il est encore très difficile d’avoir une idée exacte de leur nombre. « Nous allons mettre en place un système pour connaître le nombre de fidèles en collaboration avec les opérateurs du réseau téléphonique par une bonne estimation. Nous procéderons par une géolocalisation à un plan référencé du Daaka avec des coordonnées Gps dans chaque site de Daaka » précise Cheikh Ahmad Tidiane Kébé.
D'après Le Soleil, il s’y ajoute que le comité a pris en charge, par sa commission accueil, restauration et hébergement, la nourriture de tous les agents des services étatiques déployés sur le terrain en sus d’un appui financier. « C’est certes une lourde logistique, mais nous nous en tirons jusque-là avec nos différentes commissions qui comptent chacune au moins une quinzaine de membres et un président. Nous sommes à pied d’œuvre depuis avant le daaka et nous n’avons pas encore connu de couac majeur », explique Cheikh Ahmad Tidiane Kébé.
Pour la restauration, le Comité a fait venir des traiteurs qui déploient une quinzaine de grosses marmites (« mbana ») quotidiennement pour que tout se passe bien. Il n’y a que des hommes, de « véritables cordons bleus » qui officient chez ces traiteurs.
L’obstacle non résolu pour le moment est celui des vendeurs ambulants qui squattent la mosquée et ses alentours. La commission sécurité essaie de faire face avec ses 50 agents, aux gilets verts, qui essaient de les chasser pendant les heures de prière et de « wazifa ». La crainte du chargé de l’organisation est qu’au fil des jours la circulation devienne plus difficile du fait que certains commerçants ont déjà obstrué les voies menant à la mosquée par une juxtaposition de leurs marchandises. « Le Comité d’organisation est décidé à en finir avec cette vieille habitude après leur avoir donné du répit ces dernières années ».
L’eau comme l’électricité sont bien disponibles au « Daaka » très bien éclairé le soir. Il existe néanmoins des « zones où l’accès à l’eau est difficile du fait d’une tuyauterie abimée à l’ouest de la mosquée pendant la construction des abris ». Les quatre forages du « Daaka » sont fonctionnels.
Le Comité tire son chapeau à la société d’électricité nationale qui s’est déployée un mois avant la retraite spirituelle et s’est dotée d’un budget de l’ordre de 350 millions de FCfa, selon M. Kébé. Les autres services sont venus une semaine avant le démarrage excepté les opérateurs de téléphonie qui ne sont intervenus qu’au démarrage de la retraite.
Si le « Daaka » attire des milliers de pèlerins, il est encore très difficile d’avoir une idée exacte de leur nombre. « Nous allons mettre en place un système pour connaître le nombre de fidèles en collaboration avec les opérateurs du réseau téléphonique par une bonne estimation. Nous procéderons par une géolocalisation à un plan référencé du Daaka avec des coordonnées Gps dans chaque site de Daaka » précise Cheikh Ahmad Tidiane Kébé.