Pendant qu’au Sénégal on réprime sévèrement et balance en veux-tu, en voilà , des mandats de dépôt, en France où ça crame et où les syndicats cassent depuis deux semaines, le Syndicat des magistrats dénonce les mesures de garde-à -vue contre les manifestants, car il estime qu’il s’agit d’un détournements de l’appareil judiciaire au service du maintien de l’ordre.... et c’est pour empêcher les Français de manifester 24 à 48h...
Le syndicat des magistrats condamne ainsi cette politique de répression du mouvement social et toutes les violences policières illégales qui seraient survenues au cours des derniers jours et appelle à ce qu’elles ne demeurent pas sans suite, sans attendre de nouveaux drames. Selon toujours le syndicat des magistrats de Paname, l’interdiction de la manifestation sur la place de la Concorde à Paris du 18 mars, s’est soldée par une multitude de placements en garde-à -vue, sans éléments pour caractériser une infraction. Sur 292 interpellations, 283 ont ainsi donné lieu à un classement sans suite. Cette utilisation dévoyée de la garde-à -vue, illustre les dérives du maintien de l’ordre, qui détourne l’appareil judiciaire pour le mettre entièrement à son service.
Teuss!!!! Et si nos magistrats couchés apprenaient de leurs collègues français à faire prévaloir le droit sur la force et l’ordre ? C’est-à -dire tout simplement à défendre l’Etat de droit! Au Sénégal, au contraire, ce sont les magistrats qui couvrent les abus des forces dites de l’ordre, au point de s’en faire les complices ! S’ils ne les suscitent pas d’ailleurs. Gageons qu’il y en a qui n’osent pas se regarder dans une glace, en lisant le communiqué de leurs collègues français.
Le syndicat des magistrats condamne ainsi cette politique de répression du mouvement social et toutes les violences policières illégales qui seraient survenues au cours des derniers jours et appelle à ce qu’elles ne demeurent pas sans suite, sans attendre de nouveaux drames. Selon toujours le syndicat des magistrats de Paname, l’interdiction de la manifestation sur la place de la Concorde à Paris du 18 mars, s’est soldée par une multitude de placements en garde-à -vue, sans éléments pour caractériser une infraction. Sur 292 interpellations, 283 ont ainsi donné lieu à un classement sans suite. Cette utilisation dévoyée de la garde-à -vue, illustre les dérives du maintien de l’ordre, qui détourne l’appareil judiciaire pour le mettre entièrement à son service.
Teuss!!!! Et si nos magistrats couchés apprenaient de leurs collègues français à faire prévaloir le droit sur la force et l’ordre ? C’est-à -dire tout simplement à défendre l’Etat de droit! Au Sénégal, au contraire, ce sont les magistrats qui couvrent les abus des forces dites de l’ordre, au point de s’en faire les complices ! S’ils ne les suscitent pas d’ailleurs. Gageons qu’il y en a qui n’osent pas se regarder dans une glace, en lisant le communiqué de leurs collègues français.