A l’Université de Francfort où elle se trouve pour les besoins d’une conférence, le 5 avril dernier, la directrice générale du FMI a eu une bonne nouvelle pour tout le monde. Selon elle, la bonne nouvelle, c’est que la reprise continue; la croissance est là . Mieux encore, elle soutient que nous ne sommes pas en crise.
Mais elle tempère aussi son monde. La moins bonne nouvelle, assure l’ancienne ministre de l’Economie et des Finances, c’est que cette reprise est encore trop molle, trop fragile, et que des périls grandissants menacent d’y mettre un terme.
«Certes, nous avons beaucoup progressé depuis la grande crise financière. Mais comme la croissance est trop faible depuis trop longtemps, trop de gens n’en voient tout simplement pas les effets», dit-elle au cours de son intervention.
Cette faiblesse persistante de la croissance, poursuit Lagarde, peut créer une spirale autoentretenue sous l’effet d’un infléchissement de la production potentielle difficile à enrayer.
«Le risque s’est accru de voir l’économie mondiale s’enliser dans ce que j’ai appelé «la nouvelle médiocrité. Cela a des répercussions sur le tissu social et politique dans un grand nombre de pays, y compris ici en Allemagne, pays qui jouit pourtant d’une économie forte», indique Christine Lagarde.
Dans la même veine, Lagarde appelle tout le monde à la vigilance mais aussi elle fait un clin d’œil aux responsables économiques afin qu’ils s’attaquent aux difficultés en prenant des mesures urgentes et solide.
lejecos
Mais elle tempère aussi son monde. La moins bonne nouvelle, assure l’ancienne ministre de l’Economie et des Finances, c’est que cette reprise est encore trop molle, trop fragile, et que des périls grandissants menacent d’y mettre un terme.
«Certes, nous avons beaucoup progressé depuis la grande crise financière. Mais comme la croissance est trop faible depuis trop longtemps, trop de gens n’en voient tout simplement pas les effets», dit-elle au cours de son intervention.
Cette faiblesse persistante de la croissance, poursuit Lagarde, peut créer une spirale autoentretenue sous l’effet d’un infléchissement de la production potentielle difficile à enrayer.
«Le risque s’est accru de voir l’économie mondiale s’enliser dans ce que j’ai appelé «la nouvelle médiocrité. Cela a des répercussions sur le tissu social et politique dans un grand nombre de pays, y compris ici en Allemagne, pays qui jouit pourtant d’une économie forte», indique Christine Lagarde.
Dans la même veine, Lagarde appelle tout le monde à la vigilance mais aussi elle fait un clin d’œil aux responsables économiques afin qu’ils s’attaquent aux difficultés en prenant des mesures urgentes et solide.
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