Les enseignants ne doivent plus paralyser le système éducatif dès l’instant que des négociations ont été entamées. C’est la conviction du président de l’Union Nationale des Associations des Parents d’Elèves et Etudiants du Sénégal (Unapes) qui invite les syndicats d’enseignants à mettre fin à leur mouvement d’humeur.
Pour Abdoulaye Fané, le gouvernement a fait des efforts énormes visant à sortir l’école de la crise. « Les propositions du gouvernement sont passées de 69 à 90 milliards. Et il a fait des modifications sur les indemnités. On peut dire donc que les syndicats sont dans de meilleures dispositions par rapport à la dernière rencontre. Donc, dès l’instant que le dialogue n’est pas rompu, la logique voudrait que les enseignants reprennent le chemin de classes», souligne le président de l’Unapes.
Pour lui, les syndicalistes ne devraient pas être radicaux au point de lancer un autre plan d’action. « Il faut reconnaître qu’il y a eu des avancées dans leur lutte. C’est pourquoi, la solution est d’en prendre acte et éventuellement de continuer la lutte, parce qu’on n’a jamais vu un syndicat qui a épuisé toutes ses revendications», affirme M. Fané qui estime que l’Etat n’a pas comme mission exclusive de prendre en charge les enseignants.
«Le gouvernement a aussi d’autres priorités qu’il doit prendre en charge. Et l’Etat ne peut pas se focaliser seulement sur une corporation», ajoute le président de l’Unapes. Selon Abdoulaye Fané, si l’on n’y prend garde, on assistera à un blocage du pays par les différents syndicats.
«Aujourd’hui, la Santé est en train de s’organiser. Il se pourrait que d’autres secteurs le fassent et au rythme où vont les choses, il ne serait pas bien que les syndicats se partagent la manne financière du pays», affirme Abdoulaye Fané. Rapporte Vipeoples .
Pour Abdoulaye Fané, le gouvernement a fait des efforts énormes visant à sortir l’école de la crise. « Les propositions du gouvernement sont passées de 69 à 90 milliards. Et il a fait des modifications sur les indemnités. On peut dire donc que les syndicats sont dans de meilleures dispositions par rapport à la dernière rencontre. Donc, dès l’instant que le dialogue n’est pas rompu, la logique voudrait que les enseignants reprennent le chemin de classes», souligne le président de l’Unapes.
Pour lui, les syndicalistes ne devraient pas être radicaux au point de lancer un autre plan d’action. « Il faut reconnaître qu’il y a eu des avancées dans leur lutte. C’est pourquoi, la solution est d’en prendre acte et éventuellement de continuer la lutte, parce qu’on n’a jamais vu un syndicat qui a épuisé toutes ses revendications», affirme M. Fané qui estime que l’Etat n’a pas comme mission exclusive de prendre en charge les enseignants.
«Le gouvernement a aussi d’autres priorités qu’il doit prendre en charge. Et l’Etat ne peut pas se focaliser seulement sur une corporation», ajoute le président de l’Unapes. Selon Abdoulaye Fané, si l’on n’y prend garde, on assistera à un blocage du pays par les différents syndicats.
«Aujourd’hui, la Santé est en train de s’organiser. Il se pourrait que d’autres secteurs le fassent et au rythme où vont les choses, il ne serait pas bien que les syndicats se partagent la manne financière du pays», affirme Abdoulaye Fané. Rapporte Vipeoples .