"Nous avons appelé les enseignants à une prise des responsabilités, dès lors qu’existe un cadre de concertation à travers lequel nous pouvons leur apporter des réponses éclaires, et eux nous faire des contrepropositions et des suggestions", a affirmé la ministre de la Fonction publique, Viviane Laure Elisabeth Bampassy.
Elle s’entretenait avec des journalistes, à la fin d’une réunion de plusieurs membres du gouvernement avec les syndicats des syndicats d’enseignants, sur les accords signés par ces deux parties.
Lors de la réunion, qui s’est déroulée sans la présence des journalistes, le gouvernement a demandé aux délégués des syndicats d’enseignants de faire en sorte que les cours se puissent se dérouler "normalement", a rapporté Mme Bampassy.
"Du côté du gouvernement, il n’y a pas de blocage des cours", a-t-elle assuré, en saluant "le climat de sérénité du dialogue avec les syndicats d’enseignants".
"Il n’y a plus de raison que les enseignements ne se déroulent pas à temps. Nous appelons [les enseignants] à retourner en classe. Nous pouvons (…) continuer à discuter de (…) de leurs préoccupations", a insisté la ministre de la Fonction publique.
Les délégués des syndicats d’enseignants se sont félicités de l’"état d’esprit" qui a prévalu lors de leur rencontre.
Le Front unitaire des syndicats d’enseignants(FUSE) "a pris acte des propositions du gouvernement", selon son porte-parole, Abdou Faty.
Le FUSE a fait des "contrepropositions" sur les engagements du gouvernement, en lui demandant de raccourcir le délai de paiement des arriérés à payer aux enseignants.
Selon Abdoulaye Ndoye, le leader du Cadre unitaire des syndicats du moyen et du secondaire (CUSEMS), les propositions faites par le gouvernement seront à la connaissance des membres des organisations syndicales concernées.
Des grèves répétitives sont observées depuis février par les enseignants, qui réclament le respect des accords signés en mai 2015 avec le gouvernement.
APS
Elle s’entretenait avec des journalistes, à la fin d’une réunion de plusieurs membres du gouvernement avec les syndicats des syndicats d’enseignants, sur les accords signés par ces deux parties.
Lors de la réunion, qui s’est déroulée sans la présence des journalistes, le gouvernement a demandé aux délégués des syndicats d’enseignants de faire en sorte que les cours se puissent se dérouler "normalement", a rapporté Mme Bampassy.
"Du côté du gouvernement, il n’y a pas de blocage des cours", a-t-elle assuré, en saluant "le climat de sérénité du dialogue avec les syndicats d’enseignants".
"Il n’y a plus de raison que les enseignements ne se déroulent pas à temps. Nous appelons [les enseignants] à retourner en classe. Nous pouvons (…) continuer à discuter de (…) de leurs préoccupations", a insisté la ministre de la Fonction publique.
Les délégués des syndicats d’enseignants se sont félicités de l’"état d’esprit" qui a prévalu lors de leur rencontre.
Le Front unitaire des syndicats d’enseignants(FUSE) "a pris acte des propositions du gouvernement", selon son porte-parole, Abdou Faty.
Le FUSE a fait des "contrepropositions" sur les engagements du gouvernement, en lui demandant de raccourcir le délai de paiement des arriérés à payer aux enseignants.
Selon Abdoulaye Ndoye, le leader du Cadre unitaire des syndicats du moyen et du secondaire (CUSEMS), les propositions faites par le gouvernement seront à la connaissance des membres des organisations syndicales concernées.
Des grèves répétitives sont observées depuis février par les enseignants, qui réclament le respect des accords signés en mai 2015 avec le gouvernement.
APS