Le candidat tête de liste de l’Union des Groupe Patriotiques (UGP) continue ses visites de proximité à Touba depuis le début de la campagne.
Ce 7 novembre, il a décliné son programme qu’il compte appliquer une fois à l’Assemblée nationale, nous dit Walfnet.
Serigne Modou Bousso DIENG veut mettre en place 4 projets de lois pour criminaliser l’homosexualité, institutionnaliser le Gamou et le Magal, permettre aux arabisants d’obtenir des emplois dans l’administration et une loi sur les mensonges électoraux.
Ce dernier point, qui est essentiel pour lui, va être proposé, car indique-t-il, «c’est bien facile de promettre aux Sénégalais de procéder à des appels d’offres pour certains postes et l’appliquer est tout autre ».
«Ces promesses doivent être appliquées sinon ses auteurs seront passibles de haute trahison », a-t-il déclaré.
Concernant l’institutionnalisation des fêtes confrériques, il affirme que l’Etat du Sénégal gagne 400 milliards chaque année au Magal de Touba. Donc il est tout normal qu’il reçoive ses hôtes. C’est une «injustice qui faut combattre contre nos confréries», raison pour laquelle il faut mettre en place une loi en ce sens.
Ce 7 novembre, il a décliné son programme qu’il compte appliquer une fois à l’Assemblée nationale, nous dit Walfnet.
Serigne Modou Bousso DIENG veut mettre en place 4 projets de lois pour criminaliser l’homosexualité, institutionnaliser le Gamou et le Magal, permettre aux arabisants d’obtenir des emplois dans l’administration et une loi sur les mensonges électoraux.
Ce dernier point, qui est essentiel pour lui, va être proposé, car indique-t-il, «c’est bien facile de promettre aux Sénégalais de procéder à des appels d’offres pour certains postes et l’appliquer est tout autre ».
«Ces promesses doivent être appliquées sinon ses auteurs seront passibles de haute trahison », a-t-il déclaré.
Concernant l’institutionnalisation des fêtes confrériques, il affirme que l’Etat du Sénégal gagne 400 milliards chaque année au Magal de Touba. Donc il est tout normal qu’il reçoive ses hôtes. C’est une «injustice qui faut combattre contre nos confréries», raison pour laquelle il faut mettre en place une loi en ce sens.