La découverte, avant-hier samedi, sous un pont, sur une route forestière qui mène dans le village de Mlomp, situé dans le département d’Ousseynou, du corps du jeune boutiquier Abdourahmane Diallo, âgé d’une trentaine d’années, a constitué une énigme pour les gendarmes enquêteurs de la capitale du Kassa.
Le boutiquier Abdourahmane Diallo a, en effet, été retrouvé mort égorgé, la tête fracassée et les yeux perforés.
Commerçant de profession, il était boutiquier établi dans le village de Mlomp. Il habitait le quartier de Saré Demba, à Oussouye. Porté disparu depuis le lundi 29 janvier dernier, Abdourahmane Diallo était introuvable dans le village qui abritait son commerce. Très inquiets, ses parents décident de se rendre dans sa boutique. Ils finirent par l’ouvrir.
Mais hélas, Abdourahmane Diallo n’y était pas. Alertés, les hommes en bleu ouvrent une enquête pour élucider cette disparition qui ne cessait de défrayer la chronique à Mlomp et jusque dans les places publiques, à Oussouye.
C’est finalement ce samedi que son corps sans vie en état de décomposition très avancé a été retrouvé sous un pont de cette route forestière qui conduit dans le village de Mlomp.
« Abdourahmane Diallo a été retrouvé mort, égorgé, la tête fracassée et les yeux perforés. C’est un crime odieux et abominable », explique, sous le couvert de l’anonymat, une des parents de la victime. « Abdourahmane Diallo qui détenait de l’argent par devers lui, avait pourtant été transporté le lundi 29 janvier dernier, jour de sa disparition, par un conducteur de moto ‘’jakarta’’ qui devait le conduire jusqu’à Oussouye, où il devrait prendre un véhicule pour se rendre à Ziguinchor afin de s’approvisionner en marchandises.
Depuis lors, nous ne l’avons plus revu. Le conducteur de mot ‘’jakarta’’ n’a pas non plus donné signe de vie. Célibataire sans enfant, le corps sans vie de Abdourahmane Diallo a été découvert par des chasseurs qui ont alertés les populations », a ajouté notre interlocutrice.
Abdourahmane Diallo a été porté en terre le matin du dimanche 4 février 2018, à Oussouye, sans aucune autopsie.
L’enterrement de Abdourahmane Diallo a été fait par les soldats du feu de la station de balnéaire de Cap-Skirring, en compagnie de ses proches parents, dans le cimetière musulman d’Oussouye.
C’est l’émoi et la consternation totale dans cette partie sud du pays, suite à la mort de ce jeune boutiquier.
De mémoire des Mlompois, jamais pareil crime n’avait été déploré dans leur contrée.
Pour ce crime non plus, le ou les auteurs ne sont pas encore identifiés. Toujours est-il que Abdourahmane Diallo laisse derrière lui une famille orpheline et un voisinage consterné et inconsolable.
L’Observateur
Le boutiquier Abdourahmane Diallo a, en effet, été retrouvé mort égorgé, la tête fracassée et les yeux perforés.
Commerçant de profession, il était boutiquier établi dans le village de Mlomp. Il habitait le quartier de Saré Demba, à Oussouye. Porté disparu depuis le lundi 29 janvier dernier, Abdourahmane Diallo était introuvable dans le village qui abritait son commerce. Très inquiets, ses parents décident de se rendre dans sa boutique. Ils finirent par l’ouvrir.
Mais hélas, Abdourahmane Diallo n’y était pas. Alertés, les hommes en bleu ouvrent une enquête pour élucider cette disparition qui ne cessait de défrayer la chronique à Mlomp et jusque dans les places publiques, à Oussouye.
C’est finalement ce samedi que son corps sans vie en état de décomposition très avancé a été retrouvé sous un pont de cette route forestière qui conduit dans le village de Mlomp.
« Abdourahmane Diallo a été retrouvé mort, égorgé, la tête fracassée et les yeux perforés. C’est un crime odieux et abominable », explique, sous le couvert de l’anonymat, une des parents de la victime. « Abdourahmane Diallo qui détenait de l’argent par devers lui, avait pourtant été transporté le lundi 29 janvier dernier, jour de sa disparition, par un conducteur de moto ‘’jakarta’’ qui devait le conduire jusqu’à Oussouye, où il devrait prendre un véhicule pour se rendre à Ziguinchor afin de s’approvisionner en marchandises.
Depuis lors, nous ne l’avons plus revu. Le conducteur de mot ‘’jakarta’’ n’a pas non plus donné signe de vie. Célibataire sans enfant, le corps sans vie de Abdourahmane Diallo a été découvert par des chasseurs qui ont alertés les populations », a ajouté notre interlocutrice.
Abdourahmane Diallo a été porté en terre le matin du dimanche 4 février 2018, à Oussouye, sans aucune autopsie.
L’enterrement de Abdourahmane Diallo a été fait par les soldats du feu de la station de balnéaire de Cap-Skirring, en compagnie de ses proches parents, dans le cimetière musulman d’Oussouye.
C’est l’émoi et la consternation totale dans cette partie sud du pays, suite à la mort de ce jeune boutiquier.
De mémoire des Mlompois, jamais pareil crime n’avait été déploré dans leur contrée.
Pour ce crime non plus, le ou les auteurs ne sont pas encore identifiés. Toujours est-il que Abdourahmane Diallo laisse derrière lui une famille orpheline et un voisinage consterné et inconsolable.
L’Observateur