En effet, après avoir fait le tour de la zone, M. Baldé cache mal le sentiment de désolation qui l’anime. « C’est vraiment regrettable ce qui se passe ici », a-t-il laissé entendre avant de préciser que c’est le chômage et la pauvreté qui poussent les coupeurs de bois à s’adonner à ce genre de pratiques. Mais, à l’en croire, cela ne devrait pas justifier ces actes. « Cela n’est pas une raison, la personne peut être pauvre et faire des activités dignement », a-t-il dit. Et c’est dans cette perspective qu’il donnera comme solution la création d’Eco villages comme alternative afin mettre fin à ce fléau. « Cela va permettre aux populations de s’adonner à d’autres types d’activités telles que le maraîchage, l’arboriculture, entre autres », indique-t-il avant d’ajouter qu’au moins, dix à quinze Eco villages vont être créés dans la zone et qui vont polariser un certain nombre de villages « pour, carrément, réorienter l’activité ». « Nous allons combattre tout ce qui est illégal », dit-il déterminé.
Le bois de vène est le plus exploité par ces « malfrats ». Et c’est fort de ce constat que le ministre informe que le Sénégal a préparé un dossier à la convention internationale sur le commerce des espèces de faune et de flore menacées. « L’objectif du Sénégal, c’est de limiter son commerce sur le plan international », souligne-t-il rappelant que ce type de bois existe depuis des centaines d’années et, s’il crée autant d’engouement, c’est qu’il y a un commerce international qui, au fil des temps, a fini par le valoriser. « Il faut, alors briser ce commerce en synergie avec les membres de la Cedeao », préconise-t-il. « Si le commerce est empêché sur le plan international, cela va décourager, naturellement, toutes ces velléités parce que, personne n’a intérêt à couper du bois et le garder par devers soi ».
Déterminé a mettre fin à ce trafic, le ministre est d’avis qu’il est temps de penser à corser les choses. Et selon lui, cela peut donner des résultats probants comme c’est le cas avec le code sur le vol du bétail. « Nous allons bientôt réviser le code forestier et nous allons corser les peines. Nous avons vu que cela peut donner des résultats comme avec le vol du bétail. Je pense qu’au niveau du code forestier, il faut corser les peines pour décourager ce trafic ».
Le bois de vène est le plus exploité par ces « malfrats ». Et c’est fort de ce constat que le ministre informe que le Sénégal a préparé un dossier à la convention internationale sur le commerce des espèces de faune et de flore menacées. « L’objectif du Sénégal, c’est de limiter son commerce sur le plan international », souligne-t-il rappelant que ce type de bois existe depuis des centaines d’années et, s’il crée autant d’engouement, c’est qu’il y a un commerce international qui, au fil des temps, a fini par le valoriser. « Il faut, alors briser ce commerce en synergie avec les membres de la Cedeao », préconise-t-il. « Si le commerce est empêché sur le plan international, cela va décourager, naturellement, toutes ces velléités parce que, personne n’a intérêt à couper du bois et le garder par devers soi ».
Déterminé a mettre fin à ce trafic, le ministre est d’avis qu’il est temps de penser à corser les choses. Et selon lui, cela peut donner des résultats probants comme c’est le cas avec le code sur le vol du bétail. « Nous allons bientôt réviser le code forestier et nous allons corser les peines. Nous avons vu que cela peut donner des résultats comme avec le vol du bétail. Je pense qu’au niveau du code forestier, il faut corser les peines pour décourager ce trafic ».