Moustapha Diop, journaliste à Walf TV, a exprimé de vives critiques à l’encontre de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS), pointant du doigt son traitement partial des nouvelles autorités. Selon le journaliste, la RTS 1 aurait adopté une approche déséquilibrée dans la couverture médiatique, favorisant excessivement les figures politiques en place.
Moustapha Diop a vivement dénoncé l’omniprésence des images des autorités sur les écrans de la télévision publique, déplorant une pratique récurrente, qui avait déjà fait l’objet de reproches sous les précédentes administrations. « Ce que les médias publics, comme la RTS 1, font depuis quelques jours, ne correspond pas du tout à ce que nous attendons d’eux », a-t-il martelé, soulignant les similitudes troublantes entre le traitement actuel et celui réservé à l’ancien président Macky Sall.
L’expert des médias a averti que cette tendance pourrait transformer la RTS 1, en un organe de propagande, suggérant ironiquement que le nom de la chaîne pourrait être rebaptisé « Radio Télévision Sonko » ou « Radio Télévision Sall », en référence aux figures politiques mises en avant. « Si nous les laissons continuer sur cette voie, nous n’aurons plus la RTS, Radio Télévision Sall, mais plutôt la RTS, Radio Télévision Sonko », a-t-il déclaré avec fermeté.
Moustapha Diop a mis en lumière le contraste frappant entre le traitement médiatique actuel et celui réservé aux mêmes autorités avant leur accession au pouvoir, notant qu’ils bénéficiaient désormais de bien plus de temps d’antenne que par le passé. Cette observation l’a conduit à exprimer des inquiétudes quant à la pérennité de cette pratique, redoutant que la RTS ne s’engage dans une voie partisane.
Cependant, tout en pointant du doigt la RTS 1, le journaliste a tenu à préciser qu’il ne pouvait entièrement blâmer les nouvelles autorités pour cette situation. Il a souligné que Diomaye Faye et Sonko avaient hérité de cette réalité médiatique et n’avaient pas encore pris de mesures concernant la politique éditoriale de la RTS. « Je ne peux pas reprocher à Diomaye Faye et à Sonko ce que la RTS fait actuellement », a-t-il insisté, soulignant la nécessité pour le nouveau ministre des Télécommunications, Alioune Sall, de prendre des mesures pour rectifier la situation.
Senenews
Moustapha Diop a vivement dénoncé l’omniprésence des images des autorités sur les écrans de la télévision publique, déplorant une pratique récurrente, qui avait déjà fait l’objet de reproches sous les précédentes administrations. « Ce que les médias publics, comme la RTS 1, font depuis quelques jours, ne correspond pas du tout à ce que nous attendons d’eux », a-t-il martelé, soulignant les similitudes troublantes entre le traitement actuel et celui réservé à l’ancien président Macky Sall.
L’expert des médias a averti que cette tendance pourrait transformer la RTS 1, en un organe de propagande, suggérant ironiquement que le nom de la chaîne pourrait être rebaptisé « Radio Télévision Sonko » ou « Radio Télévision Sall », en référence aux figures politiques mises en avant. « Si nous les laissons continuer sur cette voie, nous n’aurons plus la RTS, Radio Télévision Sall, mais plutôt la RTS, Radio Télévision Sonko », a-t-il déclaré avec fermeté.
Moustapha Diop a mis en lumière le contraste frappant entre le traitement médiatique actuel et celui réservé aux mêmes autorités avant leur accession au pouvoir, notant qu’ils bénéficiaient désormais de bien plus de temps d’antenne que par le passé. Cette observation l’a conduit à exprimer des inquiétudes quant à la pérennité de cette pratique, redoutant que la RTS ne s’engage dans une voie partisane.
Cependant, tout en pointant du doigt la RTS 1, le journaliste a tenu à préciser qu’il ne pouvait entièrement blâmer les nouvelles autorités pour cette situation. Il a souligné que Diomaye Faye et Sonko avaient hérité de cette réalité médiatique et n’avaient pas encore pris de mesures concernant la politique éditoriale de la RTS. « Je ne peux pas reprocher à Diomaye Faye et à Sonko ce que la RTS fait actuellement », a-t-il insisté, soulignant la nécessité pour le nouveau ministre des Télécommunications, Alioune Sall, de prendre des mesures pour rectifier la situation.
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