FATIMA SYLLA, JOURNALISTE A LA «2STV» «La couverture de cette Can est différente de celle de 2019»
«Je suis à ma deuxième Can, après 2019. Quand tu travailles sur le terrain au niveau national, il faut tout faire pour aller au niveau international. Et ça, c’est le rêve de tous les jeunes journalistes. Cette compétition sera compliquée, car elle se tient dans un contexte assez particulier qui est le Covid. Nous faisons des tests avant chaque match, alors que nous sommes dans un pays où il n’y a pas de restrictions. On ne sent pas qu’il y a le Covid ici au Cameroun. La situation se présente chez les journalistes de la même manière que chez les joueurs. Cette Can est totalement différente de celle que j’ai couverte en 2019 en Egypte. On est d’abord des frères et des sœurs. Certes chacun à sa façon de vivre, mais il faut gérer. Déjà à Bafoussam, les hôtels ne sont pas grands et on a de petits lits. Mais, on fait avec. Avant d’être des journalistes, on est d’abord des sœurs. C’est le moment de faire un grand coucou à ma grande sœur Sokhna Fall de la «Sen Tv» parce que c’est avec elle que je partage ma chambre. Parfois, c’est elle qui range mes affaires. C’est une sœur avant d’être une consœur».
«Je suis à ma deuxième Can, après 2019. Quand tu travailles sur le terrain au niveau national, il faut tout faire pour aller au niveau international. Et ça, c’est le rêve de tous les jeunes journalistes. Cette compétition sera compliquée, car elle se tient dans un contexte assez particulier qui est le Covid. Nous faisons des tests avant chaque match, alors que nous sommes dans un pays où il n’y a pas de restrictions. On ne sent pas qu’il y a le Covid ici au Cameroun. La situation se présente chez les journalistes de la même manière que chez les joueurs. Cette Can est totalement différente de celle que j’ai couverte en 2019 en Egypte. On est d’abord des frères et des sœurs. Certes chacun à sa façon de vivre, mais il faut gérer. Déjà à Bafoussam, les hôtels ne sont pas grands et on a de petits lits. Mais, on fait avec. Avant d’être des journalistes, on est d’abord des sœurs. C’est le moment de faire un grand coucou à ma grande sœur Sokhna Fall de la «Sen Tv» parce que c’est avec elle que je partage ma chambre. Parfois, c’est elle qui range mes affaires. C’est une sœur avant d’être une consœur».