Ils ont tenu une rencontre d’information le 31 janvier 2023 au Conseil départemental de Kolda. Rencontre au cours de laquelle, ils reprochent à Dr. Bocar Daff, d’avoir décidé de «façon unilatérale, de supprimer la subvention classique».
Cette contrepartie de l’État permettait de couvrir à hauteur de 50%, les cotisations annuelles de chaque membre, a indiqué le porte-parole des mutualistes. En procédant à la suppression de cet appui, le Dg de l’Anacmu vient ainsi plomber toute la politique sociale de l’État, qui permettait aux Sénégalais vulnérables, d’avoir accès aux soins de santé de qualité à moindre coût, a regretté Alphousseyni Baldé.
C’est pourquoi, ces responsables de Mutuelles de santé disent à l’unisson, «Non à la suppression de la subvention de l’État». Pour manifester leur désaccord, ces promoteurs de la mutualité observent un arrêt de travail de 72h depuis lundi dernier, afin que les plus hautes autorités reprennent ce dossier en main.
Car, poursuit M. Baldé, Dr. Bocar Daff est en train de mettre les populations à l’agonie, en les privant du droit à la santé. Mais, «nous n’entendons pas laisser faire», a-t-il averti. «Nous sommes prêts à y faire face jusqu’à ce que cette situation soit réglée au plus haut sommet de l’État», a-t-il conclu.
Tribune
Cette contrepartie de l’État permettait de couvrir à hauteur de 50%, les cotisations annuelles de chaque membre, a indiqué le porte-parole des mutualistes. En procédant à la suppression de cet appui, le Dg de l’Anacmu vient ainsi plomber toute la politique sociale de l’État, qui permettait aux Sénégalais vulnérables, d’avoir accès aux soins de santé de qualité à moindre coût, a regretté Alphousseyni Baldé.
C’est pourquoi, ces responsables de Mutuelles de santé disent à l’unisson, «Non à la suppression de la subvention de l’État». Pour manifester leur désaccord, ces promoteurs de la mutualité observent un arrêt de travail de 72h depuis lundi dernier, afin que les plus hautes autorités reprennent ce dossier en main.
Car, poursuit M. Baldé, Dr. Bocar Daff est en train de mettre les populations à l’agonie, en les privant du droit à la santé. Mais, «nous n’entendons pas laisser faire», a-t-il averti. «Nous sommes prêts à y faire face jusqu’à ce que cette situation soit réglée au plus haut sommet de l’État», a-t-il conclu.
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