Une violente bagarre entre une employée de maison et sa patronne, continue d’alimenter les débats à Nord Foire. Tout est parti d’une dispute avant que les deux protagonistes ne se bagarrent. D’après la déposition de la victime, sa domestique ne faisait pas correctement son travail et n’était pas très propre. Au début, il était convenu que son travail se limite aux tâches ménagères, la cuisine et le linge, une fois par semaine. Mais constatant que l’hygiène de la mise en cause était douteuse, la victime lui demande de se limiter aux tâches ménagères et le linge.
« Puisque je ne passe pas mes journées à la maison à cause de mon travail, je suis obligée de faire la cuisine le soir et mettre le repas au frigo pour que la domestique le réchauffe le lendemain, pour servir le déjeuner à mes enfants et à mon mari. Et le jour des faits, à ma descente du travail, mes enfants m’ont dit qu’elle a refusé de leur réchauffer le déjeuner, prétextant qu’elle était fatiguée. Les enfants m’ont également raconté qu’elle avait passé toute la journée avec son téléphone. »
Interpellée par sa patronne, la domestique lui répond avec désinvolture. Atteinte par tant d’arrogance, la victime la tire par derrière pour lui demander de ne plus lui répondre sur ce ton. Mais c’était sans compter avec la mise en cause qui s’est agrippée à la victime, en la griffant au visage, tout en la rouant de coups, avant de la frapper à la tête avec un tabouret. Elle n’a dû son salut qu’à l’intervention de son époux.
Face aux limiers du commissariat des Parcelles Assainies, la mise en cause reconnaît les faits qui lui sont reprochés.
« Je me suis battue avec ma patronne, car elle me fatigue et ne cesse de m’engueuler à longueur de journée. A chaque fois qu’elle rentre du travail, elle ne cesse de s’acharner sur moi. En plus, mes conditions de vie dans la maison sont très difficiles, car je ne mange pas à ma faim et on me traite comme une esclave. C’est la raison pour laquelle j’ai agi de la sorte et j’ai profité de la bagarre pour lui donner une bonne correction », s’est-elle défendue.
Après être passée aux aveux, elle a été arrêtée et déférée au parquet.
« Puisque je ne passe pas mes journées à la maison à cause de mon travail, je suis obligée de faire la cuisine le soir et mettre le repas au frigo pour que la domestique le réchauffe le lendemain, pour servir le déjeuner à mes enfants et à mon mari. Et le jour des faits, à ma descente du travail, mes enfants m’ont dit qu’elle a refusé de leur réchauffer le déjeuner, prétextant qu’elle était fatiguée. Les enfants m’ont également raconté qu’elle avait passé toute la journée avec son téléphone. »
Interpellée par sa patronne, la domestique lui répond avec désinvolture. Atteinte par tant d’arrogance, la victime la tire par derrière pour lui demander de ne plus lui répondre sur ce ton. Mais c’était sans compter avec la mise en cause qui s’est agrippée à la victime, en la griffant au visage, tout en la rouant de coups, avant de la frapper à la tête avec un tabouret. Elle n’a dû son salut qu’à l’intervention de son époux.
Face aux limiers du commissariat des Parcelles Assainies, la mise en cause reconnaît les faits qui lui sont reprochés.
« Je me suis battue avec ma patronne, car elle me fatigue et ne cesse de m’engueuler à longueur de journée. A chaque fois qu’elle rentre du travail, elle ne cesse de s’acharner sur moi. En plus, mes conditions de vie dans la maison sont très difficiles, car je ne mange pas à ma faim et on me traite comme une esclave. C’est la raison pour laquelle j’ai agi de la sorte et j’ai profité de la bagarre pour lui donner une bonne correction », s’est-elle défendue.
Après être passée aux aveux, elle a été arrêtée et déférée au parquet.