Réputée particulièrement belliqueuse, C.K, âgée de 20 ans, est actuellement en prison pour coups et blessures volontaires. En effet, elle a ébouillanté sa voisine M. D. D. en lui versant de l’eau chaude mélangée à de l’urine.
Les faits se sont produits au quartier Unité 08 de la Commune des Parcelles assainies. C. K. et son mari ont loué une chambre au domicile de la grand-mère de M. D. D.
Réputée agressive et belliqueuse, C. K. passait le plus clair de son temps à provoquer sa voisine, soit en lui lançant des piques ou en l‘abreuvant d’injures. Et à chaque fois, la grand-mère de M. D. D. ou le mari de C. K. intervient pour calmer les ardeurs de la jeune dame.
Mercredi dernier, ce fut la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Car C. K., comme à l’accoutumée, a attaqué verbalement sa voisine M. D. D., l’abreuvant d’injures.
Surprise de l’attaque, M. D. D., accompagnée de sa grand-mère, se rend à la Police des Parcelles assainies pour porter plainte.
Ainsi, le mari de C. K., Informé de la plainte de sa voisine contre sa femme, joue encore une fois au sapeur-pompier afin de dissuader M. D. D. d’aller au bout. Une requête à laquelle cette dernière accède. Sauf que cela n'a pas réussi à apaiser la furie de C. K., qui revient à la charge pour encore s’attaquer à sa voisine par des injures. Cette fois-ci, M. D. D. riposte. Et C. K. engage alors une bagarre avec cette dernière. Ayant préparé son coup, elle surprend sa protagoniste et lui verse de l’eau chaude mélangée d‘urine.
Sérieusement atteinte, M. D. D. pousse des cris effroyables. Elle est secourue par des voisins ameutés par ses cris de détresse. Après avoir bénéficié de soins dans un centre de santé, la victime s’est rendue au commissariat des Parcelles assainies pour porter plainte contre C. K., pour coups et blessures volontaires.
Interrogée, la mise en cause a nié en bloc avant de plaider la légitime défense. Elle estime que c’est sa voisine qui l’a attaquée d’abord. Munie d’un certificat médical de 8 jours, elle s’est d’ailleurs amusée à porter plainte. N’empêche, elle a été placée en garde-à -vue au commissariat des Parcelles assainies, avant d’être déférée au parquet pour coups et blessures volontaires au préjudice de M. D. D.
L’As
Les faits se sont produits au quartier Unité 08 de la Commune des Parcelles assainies. C. K. et son mari ont loué une chambre au domicile de la grand-mère de M. D. D.
Réputée agressive et belliqueuse, C. K. passait le plus clair de son temps à provoquer sa voisine, soit en lui lançant des piques ou en l‘abreuvant d’injures. Et à chaque fois, la grand-mère de M. D. D. ou le mari de C. K. intervient pour calmer les ardeurs de la jeune dame.
Mercredi dernier, ce fut la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Car C. K., comme à l’accoutumée, a attaqué verbalement sa voisine M. D. D., l’abreuvant d’injures.
Surprise de l’attaque, M. D. D., accompagnée de sa grand-mère, se rend à la Police des Parcelles assainies pour porter plainte.
Ainsi, le mari de C. K., Informé de la plainte de sa voisine contre sa femme, joue encore une fois au sapeur-pompier afin de dissuader M. D. D. d’aller au bout. Une requête à laquelle cette dernière accède. Sauf que cela n'a pas réussi à apaiser la furie de C. K., qui revient à la charge pour encore s’attaquer à sa voisine par des injures. Cette fois-ci, M. D. D. riposte. Et C. K. engage alors une bagarre avec cette dernière. Ayant préparé son coup, elle surprend sa protagoniste et lui verse de l’eau chaude mélangée d‘urine.
Sérieusement atteinte, M. D. D. pousse des cris effroyables. Elle est secourue par des voisins ameutés par ses cris de détresse. Après avoir bénéficié de soins dans un centre de santé, la victime s’est rendue au commissariat des Parcelles assainies pour porter plainte contre C. K., pour coups et blessures volontaires.
Interrogée, la mise en cause a nié en bloc avant de plaider la légitime défense. Elle estime que c’est sa voisine qui l’a attaquée d’abord. Munie d’un certificat médical de 8 jours, elle s’est d’ailleurs amusée à porter plainte. N’empêche, elle a été placée en garde-à -vue au commissariat des Parcelles assainies, avant d’être déférée au parquet pour coups et blessures volontaires au préjudice de M. D. D.
L’As