Les faits sont particulièrement odieux. Connue pour son caractère effronté, Aminata C. a comparu devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour avoir causé une fracture à sa grand-mère paternelle. Âgée de 90 berges, la victime a été transportée à l’hôpital régional de Thiès, où elle est toujours admise.
D'après Rewmi, devant le prétoire, la prévenue n’est pas passée par quatre chemins pour reconnaître les faits de coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail de 90 jours. Pour justifier son acte indigne, Aminata a expliqué que la partie civile se montre de plus en plus désagréable avec sa mère.
A l’en croire, la mamie prenait du plaisir en jetant au quotidien des pierres dans la chambre de sa belle-fille. A cela s’ajoute dit-elle, les injures les unes plus vulgaires que les autres. « J’ai tout fait pour l’éviter. Mais tenace qu’elle est, elle s’est introduite dans la chambre avec un gourdin et a voulu me frapper. Je l’ai repoussée et elle est tombée.
Après sa chute elle s’est levée avant de rejoindre sa chambre toute seule. Je ne pense pas être à l’origine de sa fracture à la hanche », a-t-elle relaté. « Tu crois que c’est normal ce que tu as fait ? », lui a demandé le juge. La comparante de rétorquer : « Elle a menacé de tuer ma mère. Elle ne cesse de lui mener la vie dure ». Reprenant la parole, le président de la séance a recadré la mise en cause en ces termes : « Ce n’est pas à toi de régler le différend qui oppose ta mère à ta grand-mère ».
D’ailleurs, selon les éléments de la procédure, la prévenue est très impulsive et violente. Elle ne s’entend avec personne chez elle. À titre de réparation, le conseil de la partie civile a réclamé 5 millions francs. Le maître des poursuites a sollicité l’application de la loi. Le juge a prolongé le séjour carcéral de la prévenue qui a écopé d’une peine de six mois, dont un ferme. En guise de réparation, Aminata C. doit allouer 1 million francs à la nonagénaire.
D'après Rewmi, devant le prétoire, la prévenue n’est pas passée par quatre chemins pour reconnaître les faits de coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail de 90 jours. Pour justifier son acte indigne, Aminata a expliqué que la partie civile se montre de plus en plus désagréable avec sa mère.
A l’en croire, la mamie prenait du plaisir en jetant au quotidien des pierres dans la chambre de sa belle-fille. A cela s’ajoute dit-elle, les injures les unes plus vulgaires que les autres. « J’ai tout fait pour l’éviter. Mais tenace qu’elle est, elle s’est introduite dans la chambre avec un gourdin et a voulu me frapper. Je l’ai repoussée et elle est tombée.
Après sa chute elle s’est levée avant de rejoindre sa chambre toute seule. Je ne pense pas être à l’origine de sa fracture à la hanche », a-t-elle relaté. « Tu crois que c’est normal ce que tu as fait ? », lui a demandé le juge. La comparante de rétorquer : « Elle a menacé de tuer ma mère. Elle ne cesse de lui mener la vie dure ». Reprenant la parole, le président de la séance a recadré la mise en cause en ces termes : « Ce n’est pas à toi de régler le différend qui oppose ta mère à ta grand-mère ».
D’ailleurs, selon les éléments de la procédure, la prévenue est très impulsive et violente. Elle ne s’entend avec personne chez elle. À titre de réparation, le conseil de la partie civile a réclamé 5 millions francs. Le maître des poursuites a sollicité l’application de la loi. Le juge a prolongé le séjour carcéral de la prévenue qui a écopé d’une peine de six mois, dont un ferme. En guise de réparation, Aminata C. doit allouer 1 million francs à la nonagénaire.