Voulant coûte que coûte tenir les joutes à date échue, elle appelle les «mouvements citoyens et religieux, les organisations socio-professionnelles et les personnalités de la société civile réunis autour de la Plateforme Aar Suñu Élection », à exiger le rétablissement du calendrier électoral.
«Constatant avec indignation, la signature par le président de la République, d’un décret violant la Constitution, abrogeant le décret 2023 2283 de la 29/11/2023 portant convocation du corps électoral dont la mise en œuvre autorise le démarrage de la campagne électorale, le Dimanche 4 février 2024 et la tenue du scrutin présidentiel, le 25 février 2024. Constatant que le Sénégal ne vit aucune crise politique ni institutionnelle, qui justifie l’arrêt du processus électoral.
Constatant que les députés ont voté sans débat, la proposition de loi qui reportait la date de l’élection présidentielle au 15 Décembre 2024 et risquerait de prolonger le second mandat du président de la République dont le terme est fixé au 02 Avril 2024, nous exigeons le rétablissement du calendrier républicain », renseigne la note.
Poursuivant, les membres de la société civile invite les 7 sages ainsi que la Cour suprême, à prendre, en ces moments sombres, leurs responsabilités devant l’histoire, « en rétablissant immédiatement l’ordre légal et constitutionnel ».
Ne s’arrêtant pas là , la plateforme, décidée à en découdre avec le régime actuel, appelle à une mobilisation populaire sur toute l’étendue du territoire national, des citoyens soucieux de leur devenir et de leur démocratie. Mais encore, à une union des prières des musulmans et des chrétiens.
Ainsi, tous les musulmans sont invités à se rendre massivement à la grande prière de ce vendredi 9 février 2024, habillés en blanc, « arborant des couleurs du drapeau national, pour manifester colère et indignation face à cet affront fait au peuple sénégalais ».
Les Chrétiens sont aussi invités le dimanche 11 février durant leur messe, à faire une grande mobilisation et à formuler des prières.
Cependant, les imams et les évêques sont également invités dans leurs prêches de vendredi et de dimanche, à dénoncer la violation de la Constitution par le Président Macky Sall.
«Constatant avec indignation, la signature par le président de la République, d’un décret violant la Constitution, abrogeant le décret 2023 2283 de la 29/11/2023 portant convocation du corps électoral dont la mise en œuvre autorise le démarrage de la campagne électorale, le Dimanche 4 février 2024 et la tenue du scrutin présidentiel, le 25 février 2024. Constatant que le Sénégal ne vit aucune crise politique ni institutionnelle, qui justifie l’arrêt du processus électoral.
Constatant que les députés ont voté sans débat, la proposition de loi qui reportait la date de l’élection présidentielle au 15 Décembre 2024 et risquerait de prolonger le second mandat du président de la République dont le terme est fixé au 02 Avril 2024, nous exigeons le rétablissement du calendrier républicain », renseigne la note.
Poursuivant, les membres de la société civile invite les 7 sages ainsi que la Cour suprême, à prendre, en ces moments sombres, leurs responsabilités devant l’histoire, « en rétablissant immédiatement l’ordre légal et constitutionnel ».
Ne s’arrêtant pas là , la plateforme, décidée à en découdre avec le régime actuel, appelle à une mobilisation populaire sur toute l’étendue du territoire national, des citoyens soucieux de leur devenir et de leur démocratie. Mais encore, à une union des prières des musulmans et des chrétiens.
Ainsi, tous les musulmans sont invités à se rendre massivement à la grande prière de ce vendredi 9 février 2024, habillés en blanc, « arborant des couleurs du drapeau national, pour manifester colère et indignation face à cet affront fait au peuple sénégalais ».
Les Chrétiens sont aussi invités le dimanche 11 février durant leur messe, à faire une grande mobilisation et à formuler des prières.
Cependant, les imams et les évêques sont également invités dans leurs prêches de vendredi et de dimanche, à dénoncer la violation de la Constitution par le Président Macky Sall.