Selon Mme Diokhané, la forme de coopération qui est proposée à l’Afrique est ancienne. « Elle date d’un certain nombre d’années et il faudrait que l’on revoie, un peu, la façon dont les pays développés aident l’Afrique », a-t-elle dit avant de préciser : « On n’est pas dans une logique d’aide, on est plus dans une logique de partenariat gagnant gagnant dont l’intérêt des pays européens, particulièrement la France, de retrouver, plus ou moins, sa place en Afrique dans l’intérêt des Africains ». A l’en croire, la France doit, dans ce sens, pouvoir faire face à une concurrence économique rude en Afrique face aux Chinois, au Turcs,… et aussi aux Africains de pouvoir se déployer dans toutes ses stratégies « parce que l’idée, c’est que l’on accompagne l’émergence de l’Afrique ».
Pour ce qui concerne les Ape dont bon nombre d’Africains ne veulent pas entendre parler, la maire adjoint à Evreux en charge de la scolarité, de l’enfance, le périscolaire et le jumelage est d’avis qu’« il y a eu beaucoup de critiques des Accords de partenariat économique, mais, il faut qu’en un moment ou à un autre, que les pays africains se posent des questions ». Et celle qui mérite plus d’être posée est, selon elle, à quel moment on pourra aider au perfectionnement des entreprises qui vont pouvoir faire face à la concurrence mondiale ? « On est dans une mondialisation qui doit permettre à toutes les entreprises de pouvoir traverser d’un continent à un autre, et si nous n’avons pas cette norme en Afrique, alors qu'on a des entreprises européennes qui vont pénétrer le marché africain, la concurrence ne se fera pas ». Donc, pour elle, « la coopération s’agira aussi de pouvoir aider les entreprises à pouvoir se regrouper, à pouvoir faire face à la concurrence mondiale et aussi à pouvoir aider les Pme à pouvoir se développer et pouvoir permettre aux autres structures, à l’étranger, de concourir des marchés ». « Je ne vois pas cela comme le fait de venir prendre des marchés, mais il faudra aussi qu’il y ait un effort par rapport à la normalisation des produits qui doivent entrer en Europe », a-t-elle souligné.
Pour ce qui concerne les Ape dont bon nombre d’Africains ne veulent pas entendre parler, la maire adjoint à Evreux en charge de la scolarité, de l’enfance, le périscolaire et le jumelage est d’avis qu’« il y a eu beaucoup de critiques des Accords de partenariat économique, mais, il faut qu’en un moment ou à un autre, que les pays africains se posent des questions ». Et celle qui mérite plus d’être posée est, selon elle, à quel moment on pourra aider au perfectionnement des entreprises qui vont pouvoir faire face à la concurrence mondiale ? « On est dans une mondialisation qui doit permettre à toutes les entreprises de pouvoir traverser d’un continent à un autre, et si nous n’avons pas cette norme en Afrique, alors qu'on a des entreprises européennes qui vont pénétrer le marché africain, la concurrence ne se fera pas ». Donc, pour elle, « la coopération s’agira aussi de pouvoir aider les entreprises à pouvoir se regrouper, à pouvoir faire face à la concurrence mondiale et aussi à pouvoir aider les Pme à pouvoir se développer et pouvoir permettre aux autres structures, à l’étranger, de concourir des marchés ». « Je ne vois pas cela comme le fait de venir prendre des marchés, mais il faudra aussi qu’il y ait un effort par rapport à la normalisation des produits qui doivent entrer en Europe », a-t-elle souligné.