Pour les élections législatives, qui sont des élections à la fois politiques et locales, la position du GPS est d’abord de faire front avec tous les partis de l’opposition. Nous avons été les premiers à appeler à l’unité d’action. Des échanges existent de façon régulière entre tous les leaders de l’opposition et donc GPS ne boycotte pas les élections législatives.
Cependant, le gouvernement ivoirien a décide de faire tout ce qu’il peut, en tout cas, pour détruire totalement le GPS. Son président en exil, la majeure partie de ses cadres et députes sont, soit en exil, soit en prison, soit, ils n’ont pas le droit de se prononcer sur l’évolution politique du pays…
Dans ces conditions et pour rester fidele a sa position, le GPS, en tant qu’entité, tout en maintenant son soutien aux actions de l’opposition, envisage dans tous les cas de ne pas présenter sous son étiquette des candidats aux élections législatives.
Mais aucun mot d’ordre ne sera donne aux militants du GPS ou a quiconque de boycotter les élections législatives. Nous n’en sommes pas la.
Par ailleurs, six petits partis politiques de l'opposition, parmi lesquels l'USD d'Henri Niava, le Parti ivoirien des travailleurs ou le RPCI de Bamba Morifere notamment, interpellent les autres formations d'opposition qui se mettent en en ordre de marche pour les législatives du 6 mars prochain. Ces petits partis, qui n'ont pas d'élus dans l'assemblée sortante, boycottent ce scrutin.
L’As
Cependant, le gouvernement ivoirien a décide de faire tout ce qu’il peut, en tout cas, pour détruire totalement le GPS. Son président en exil, la majeure partie de ses cadres et députes sont, soit en exil, soit en prison, soit, ils n’ont pas le droit de se prononcer sur l’évolution politique du pays…
Dans ces conditions et pour rester fidele a sa position, le GPS, en tant qu’entité, tout en maintenant son soutien aux actions de l’opposition, envisage dans tous les cas de ne pas présenter sous son étiquette des candidats aux élections législatives.
Mais aucun mot d’ordre ne sera donne aux militants du GPS ou a quiconque de boycotter les élections législatives. Nous n’en sommes pas la.
Par ailleurs, six petits partis politiques de l'opposition, parmi lesquels l'USD d'Henri Niava, le Parti ivoirien des travailleurs ou le RPCI de Bamba Morifere notamment, interpellent les autres formations d'opposition qui se mettent en en ordre de marche pour les législatives du 6 mars prochain. Ces petits partis, qui n'ont pas d'élus dans l'assemblée sortante, boycottent ce scrutin.
L’As