En effet, l’activité économique devrait rester vigoureuse, à 8,5 % 2016, pour ensuite se situer à une moyenne annuelle de 7,4 % en 2017–20. Le déficit budgétaire global devrait se creuser à près de 4 % du PIB, contre 3 % en 2015, en raison de l’augmentation de l’investissement public et des dépenses sécuritaires, de même que des charges d’intérêt.
De même, le déficit courant devrait vraisemblablement se détériorer pour se situer à environ 3 % du PIB en moyenne, contre 1,7 % du PIB en 2015, du fait de la solidité de la demande intérieure, en particulier d’investissement, à l’appui de la transformation structurelle. Parmi les principaux risques qui pèsent sur les perspectives, il convient de citer le durcissement et la volatilité accrue des conditions financières mondiales, l’atonie persistante de l’économie à l’échelle internationale, la détérioration de la situation financière de la raffinerie nationale, d’autres attentats terroristes dans la région ainsi que les risques macro-financiers issus des engagements conditionnels du secteur public et des vulnérabilités du secteur financier.
lejecos
De même, le déficit courant devrait vraisemblablement se détériorer pour se situer à environ 3 % du PIB en moyenne, contre 1,7 % du PIB en 2015, du fait de la solidité de la demande intérieure, en particulier d’investissement, à l’appui de la transformation structurelle. Parmi les principaux risques qui pèsent sur les perspectives, il convient de citer le durcissement et la volatilité accrue des conditions financières mondiales, l’atonie persistante de l’économie à l’échelle internationale, la détérioration de la situation financière de la raffinerie nationale, d’autres attentats terroristes dans la région ainsi que les risques macro-financiers issus des engagements conditionnels du secteur public et des vulnérabilités du secteur financier.
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