Michel Gbagbo fait une révélation de taille. Le fils de Laurent Gbagbo a confié à Koaci qu’à la date du 30 mars 2016, 250 personnes étaient encore détenues dans les prisons, et que 300 autres inculpées suite à la crise post-électorale de 2011, étaient jusqu’à ce jour portées disparues.
Gbagbo fils, secrétaire en charge des prisonniers politiques au Front Populaire Ivoirien (FPI), prenait ainsi au rebond le discours du chef de l’Etat Alassane Ouattara lors de la célébration de la fête du travail, le 1er mai dernier, concernant les prisonniers de la crise post-électorale.
« La déclaration du Président Ouattara est erronée et malhonnête », a indiqué d’entrée le fils de Laurent Gbagbo, avant de poursuivre : « Il a toujours dit qu’il ne se mêlait pas des affaires de justice. Alors d’où détient-il l’information qu’il n’y a plus de prisonniers depuis sa prestation de serment en mai 2011 ? ».
Michel Gbagbo va plus loin, révélant qu’« à la date du 30 mars 2016, 250 personnes étaient encore détenues dans les prisons. La plupart suite à la crise post-électorale. Plus grave, 300 personnes qui ont été inculpées et placées sous mandat de dépôt depuis 2011 sont portées disparues. Mêmes leurs familles n’ont plus de leurs nouvelles. Le Président peut-il nous dire que sont-elles devenues ? Je pense que ce genre de déclaration prouve une fois de plus que nous avons affaire à un chef incompétent, qui n’est pas digne à être à cette place ».
Gbagbo fils, secrétaire en charge des prisonniers politiques au Front Populaire Ivoirien (FPI), prenait ainsi au rebond le discours du chef de l’Etat Alassane Ouattara lors de la célébration de la fête du travail, le 1er mai dernier, concernant les prisonniers de la crise post-électorale.
« La déclaration du Président Ouattara est erronée et malhonnête », a indiqué d’entrée le fils de Laurent Gbagbo, avant de poursuivre : « Il a toujours dit qu’il ne se mêlait pas des affaires de justice. Alors d’où détient-il l’information qu’il n’y a plus de prisonniers depuis sa prestation de serment en mai 2011 ? ».
Michel Gbagbo va plus loin, révélant qu’« à la date du 30 mars 2016, 250 personnes étaient encore détenues dans les prisons. La plupart suite à la crise post-électorale. Plus grave, 300 personnes qui ont été inculpées et placées sous mandat de dépôt depuis 2011 sont portées disparues. Mêmes leurs familles n’ont plus de leurs nouvelles. Le Président peut-il nous dire que sont-elles devenues ? Je pense que ce genre de déclaration prouve une fois de plus que nous avons affaire à un chef incompétent, qui n’est pas digne à être à cette place ».