En mai, deux juges d’instruction français avaient ouvert une enquête sur ce paiement destiné à une société, Black Tidings, détenue par Papa Massata Diack, le fils de l’ancien président déchu de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF), Lamine Diack. Peu après, le Comité olympique japonais avait désigné un panel de trois juristes chargés de faire la lumière sur ce versement suspect.
« L’enquête conclut que (le versement) ne vient en violation d’aucune loi au japon », assure le rapport du panel. « De plus, l’équipe d’enquêteurs conclut
que cela ne constitue pas non plus un crime selon le code pénal français, et même qu’aucune violation du code d’éthique du Comité international olympique (CIO) n’a pu être trouvée », ajoute-t-on.
« Nous pensons que l’enquête blanchit (le Comité de campagne pour les JO) des suspicions qui pesaient sur lui », a assuré Yoshihisa Hayakawa, le juriste qui a dirigé l’enquête, tout en admettant ses limites. Les enquêteurs n’ont par exemple pas pu interroger les Diack père et fils ni les anciens dirigeants de la société Black Tidings. Le président du Comité olympique japonais Tsunekazu Takeda avait affirmé en mai que le versement de 2 millions de dollars correspondait à des « rémunérations légitimes d’un consultant ».
Basée à Singapour, Black Tidings délivrait entre autres activités des services de conseil en marketing. La société, aujourd’hui disparue, était dirigée par le consultant Ian Tan Hong, un associé de Papa Massata Diack depuis les Jeux de Pékin en 2008. « Personne (dans le Comité de campagne japonais
pour les JO) ne savait que M. Tan était un proche de M. Papa Massata Diack », lorsque le Japon a engagé ce consultant, a assuré M. Hayakawa. Tokyo a été désigné en 2013 pour accueillir les JO- 2020, au détriment de Madrid et Istanbul.
« L’enquête conclut que (le versement) ne vient en violation d’aucune loi au japon », assure le rapport du panel. « De plus, l’équipe d’enquêteurs conclut
que cela ne constitue pas non plus un crime selon le code pénal français, et même qu’aucune violation du code d’éthique du Comité international olympique (CIO) n’a pu être trouvée », ajoute-t-on.
« Nous pensons que l’enquête blanchit (le Comité de campagne pour les JO) des suspicions qui pesaient sur lui », a assuré Yoshihisa Hayakawa, le juriste qui a dirigé l’enquête, tout en admettant ses limites. Les enquêteurs n’ont par exemple pas pu interroger les Diack père et fils ni les anciens dirigeants de la société Black Tidings. Le président du Comité olympique japonais Tsunekazu Takeda avait affirmé en mai que le versement de 2 millions de dollars correspondait à des « rémunérations légitimes d’un consultant ».
Basée à Singapour, Black Tidings délivrait entre autres activités des services de conseil en marketing. La société, aujourd’hui disparue, était dirigée par le consultant Ian Tan Hong, un associé de Papa Massata Diack depuis les Jeux de Pékin en 2008. « Personne (dans le Comité de campagne japonais
pour les JO) ne savait que M. Tan était un proche de M. Papa Massata Diack », lorsque le Japon a engagé ce consultant, a assuré M. Hayakawa. Tokyo a été désigné en 2013 pour accueillir les JO- 2020, au détriment de Madrid et Istanbul.