Orpheline de père et de mère, feue Penda Kébé a rejoint ses parents dans des circonstances tragiques. Elle a été tuée et jetée dans le canal d’évacuation des eaux usées du quartier Djibock, dans la ville de Ziguinchor. Le corps sans vie de la jeune femme âgée de 24 ans a été découvert lundi dernier, très tôt dans la matinée. Sa tante qui a participé à l’éducation de Penda Kébé dit regretter sa disparition et pleure toujours sa fille « adorée » en qui elle avait mis tout son amour. « C’est moi qui ai éduqué Penda Kébé. Ses parents sont décédés depuis très longtemps. Je peux dire que j’étais sa seule famille.
Car, après la mort de ses parents, j’ai décidé de la faire venir à mes côtés pour m’occuper d’elle. Penda était une fille très gentille, douce, joviale et aimable », a confié en sanglots, Awa Kébé à des sites d’informations de la localité. Pourtant avant sa disparation, feue Penda Kébé a eu à parler à sa tante pour la dernière fois. Toutes les deux ont eu une conversation relative à son déplacement au quartier Tilène, là où la victime a passé une partie de son enfance avant qu’elle et sa tante ne s’installent définitivement au quartier Kandialang.
Par tous les moyens, sa tante dit avoir essayé de la retenir parce qu’il commençait déjà à faire nuit en plus de la pluie qui menaçait de pleuvoir. Mais, la tentative de la « maman » de la retenir était sans succès. « Elle m’a trouvé devant la porte de ma chambre me disant qu’elle allait se rendre à Tilène, notre ancien quartier. Je lui ai répondu : qu’est-ce que tu vas faire à Tilène. Je pense qu’il faut attendre demain dans la mesure où le ciel est nuageux et il peut pleuvoir à tout moment. Elle m’a dit qu’elle n’allait pas durer et qu’elle rentrerait très vite. En allant, elle est montée à bord d’une moto ‘’Jakarta’’ », a affirmé la deuxième maman de la victime. Awa Kébé croyait que Penda Kébé, la fille « adorée » reviendrait « très vite » comme promis.
En revanche, ça ne sera pas le cas. Et c’est leur ultime échange physique. « Jusqu’à 00h, Penda n’était pas revenue et il pleuvait. Mon intuition me disait qu’il se passait quelque chose de bizarre. Je n’ai cessé de l’appeler mais je tombais toujours sa boîte vocale. Quand je me suis réveillée au petit matin, j’ai constaté que Penda n’étais toujours pas rentrée. A la maison, tout le monde croyait qu’elle a dû passer la nuit là où elle travaillait. Mais, ce n’était pas le cas. C’est par la suite que nous avions été informés que le corps de la jeune femme retrouvé dans le canal de Djibock était celui de Penda Kébé. Je remets tout entre les mains d’Allah», a expliqué Awa Kébé, qui dit ne peut comprendre comment est arrivé cet événement douloureux.
Avec leSoleil
Car, après la mort de ses parents, j’ai décidé de la faire venir à mes côtés pour m’occuper d’elle. Penda était une fille très gentille, douce, joviale et aimable », a confié en sanglots, Awa Kébé à des sites d’informations de la localité. Pourtant avant sa disparation, feue Penda Kébé a eu à parler à sa tante pour la dernière fois. Toutes les deux ont eu une conversation relative à son déplacement au quartier Tilène, là où la victime a passé une partie de son enfance avant qu’elle et sa tante ne s’installent définitivement au quartier Kandialang.
Par tous les moyens, sa tante dit avoir essayé de la retenir parce qu’il commençait déjà à faire nuit en plus de la pluie qui menaçait de pleuvoir. Mais, la tentative de la « maman » de la retenir était sans succès. « Elle m’a trouvé devant la porte de ma chambre me disant qu’elle allait se rendre à Tilène, notre ancien quartier. Je lui ai répondu : qu’est-ce que tu vas faire à Tilène. Je pense qu’il faut attendre demain dans la mesure où le ciel est nuageux et il peut pleuvoir à tout moment. Elle m’a dit qu’elle n’allait pas durer et qu’elle rentrerait très vite. En allant, elle est montée à bord d’une moto ‘’Jakarta’’ », a affirmé la deuxième maman de la victime. Awa Kébé croyait que Penda Kébé, la fille « adorée » reviendrait « très vite » comme promis.
En revanche, ça ne sera pas le cas. Et c’est leur ultime échange physique. « Jusqu’à 00h, Penda n’était pas revenue et il pleuvait. Mon intuition me disait qu’il se passait quelque chose de bizarre. Je n’ai cessé de l’appeler mais je tombais toujours sa boîte vocale. Quand je me suis réveillée au petit matin, j’ai constaté que Penda n’étais toujours pas rentrée. A la maison, tout le monde croyait qu’elle a dû passer la nuit là où elle travaillait. Mais, ce n’était pas le cas. C’est par la suite que nous avions été informés que le corps de la jeune femme retrouvé dans le canal de Djibock était celui de Penda Kébé. Je remets tout entre les mains d’Allah», a expliqué Awa Kébé, qui dit ne peut comprendre comment est arrivé cet événement douloureux.
Avec leSoleil