Répondant à une question du reporter de votre site préféré sur ce que gagne le Sénégal dans l’Agoa, Mme Liser a été très claire. « Pour ce qui est du Sénégal, il n’a pas encore beaucoup profité de l’Agoa. Je sais que lorsque je me suis rendue au Sénégal, je travaillais dans un certain nombre de domaines clés. Comme le beurre de karité à valeur ajoutée… Nous avons vu également des parfums arrivés du Sénégal aux Etats-Unis », a-t-elle indiqué cet après-midi, dans une conférence de presse virtuelle qu’elle donnait avec la Secrétaire d’État adjointe aux Affaires africaines, Linda Thomas-Greenfield, suivie à l’Ambassade des Etats unis, à Dakar.
Elle a souligné que les Usa souhaitent « travailler de manière plus étroite » avec le Sénégal « pour essayer d’identifier comment mieux utiliser l’Agoa et la nouvelle législation Agoa à l’avenir », faisant référence au forum de l’Agoa, qui aura lieu du 24 au 27 août 2015, à Libreville, au Gabon. Continuant toujours à propos de notre pays, Mme Florie Liser conditionne : « Si le Sénégal élabore un bon plan… Nous travaillons avec eux. Nous savons que la Banque de développement africaine (Bad) et l’Union africaine économique pourront aider à progresser dans le travail pour mieux profiter de l’Agoa ».
L’Agoa est considéré par les Américains « comme la pierre angulaire de la relation économique avec l’Afrique… qui est un partenaire de valeur pour les Etats unis », affirme Mme Thomas-Greenfield. C’est pour cela que le Congrès américain a adopté « une loi autorisant l’Agoa pour dix années supplémentaires ». Et « le Forum 2015 (Gabon) sera l'occasion de célébrer le succès de l'AGOA au cours des quinze dernières années, voir comment maximiser son impact pendant la prochaine décennie, et lancer un dialogue sur notre vision commune sur l’avenir post-AGOA du commerce États-Unis/Afrique », souligne un communiqué de l’Ambassade des Usa, à Dakar.
Le prochain forum de l’Agoa sera la 14ème année où « des responsables gouvernementaux, des chefs d'entreprises, des entrepreneurs et des représentants de la société civile africains et américains se rencontrent pour promouvoir le commerce, les affaires et les opportunités d'investissement et soutenir le développement économique en Afrique », selon le même communiqué.
Oumar Dembélé (stagiaire)
Elle a souligné que les Usa souhaitent « travailler de manière plus étroite » avec le Sénégal « pour essayer d’identifier comment mieux utiliser l’Agoa et la nouvelle législation Agoa à l’avenir », faisant référence au forum de l’Agoa, qui aura lieu du 24 au 27 août 2015, à Libreville, au Gabon. Continuant toujours à propos de notre pays, Mme Florie Liser conditionne : « Si le Sénégal élabore un bon plan… Nous travaillons avec eux. Nous savons que la Banque de développement africaine (Bad) et l’Union africaine économique pourront aider à progresser dans le travail pour mieux profiter de l’Agoa ».
L’Agoa est considéré par les Américains « comme la pierre angulaire de la relation économique avec l’Afrique… qui est un partenaire de valeur pour les Etats unis », affirme Mme Thomas-Greenfield. C’est pour cela que le Congrès américain a adopté « une loi autorisant l’Agoa pour dix années supplémentaires ». Et « le Forum 2015 (Gabon) sera l'occasion de célébrer le succès de l'AGOA au cours des quinze dernières années, voir comment maximiser son impact pendant la prochaine décennie, et lancer un dialogue sur notre vision commune sur l’avenir post-AGOA du commerce États-Unis/Afrique », souligne un communiqué de l’Ambassade des Usa, à Dakar.
Le prochain forum de l’Agoa sera la 14ème année où « des responsables gouvernementaux, des chefs d'entreprises, des entrepreneurs et des représentants de la société civile africains et américains se rencontrent pour promouvoir le commerce, les affaires et les opportunités d'investissement et soutenir le développement économique en Afrique », selon le même communiqué.
Oumar Dembélé (stagiaire)