Le chef de l’État avait signé, le 3 décembre dernier, le décret 2021-1600, relatif au point de contrôle des véhicules.
Macky Sall habilitait ainsi les ministres concernés à prendre un arrêté interministériel pour créer des brigades mixtes de contrôle routier pour fixer les contrôles intempestifs par des agents de police de la circulation routière.
À Dakar, la tâche est confiée au commissariat central de Dakar qui a fait appel à 50 agents en service dans des postes et commissariats de la banlieue dakaroise.
Ces derniers sont clairement identifiés de par leur uniforme de service et leur képi de couleur blanche.
Ce, contrairement à leurs collègues des postes et commissariats de police en banlieue dakaroise qui portent un képi de couleur bleue foncée.
Ces derniers sont, désormais, interdits d'effectuer des opérations de contrôle ou de vérification des véhicules. Mieux, ils sont même privés d'attestations.
Mais, certains policiers des postes et/ou commissariats de la banlieue ignorent royalement la nouvelle mesure et continuent d'opérer de «se taper», des véhicules au niveau de la circulation. Quid de leur modus operandi. ? D’après Vipeoples , ils ciblent des endroits discrets, mais hyper fréquentés par des taxis-clandos et autres conducteurs de moto.
Ils font d'abord semblant de ne pas effectuer de contrôle, se retranchent en douce dans un recoin en bordure de la chaussée et restent à l'affût.
Quand ils aperçoivent un véhicule boiteux ou à la vilaine carrosserie, ils sortent aussitôt du bois, l'immobilisent net sur le bas-côté de la route et confisquent les papiers de conduite. Ils tournent aussitôt le dos au chauffeur et feignent de vérifier l'état de la voiture.
Si le chauffeur interpelle l'agent de police sur le motif de l'immobilisation de sa caisse, ce dernier fait la sourde oreille et continue en toute tranquillité la traque aux autres usagers de la route. Mais, si l'automobiliste s'impatiente et réclame une attestation pour aller payer au bureau des contraventions de leur service, le policier lui rétorque avoir épuisé son stock d'attestations et s'éloigne de lui.
Ainsi, il confisque alors les papiers de conduite et le fait poireauter durant de longues heures avant de lâcher prise. A condition que celui-ci joue au dur à cuire ou se plie à ses desideratas. Les automobilistes qui ignorent la note de service en paient un lourd tribut.
Macky Sall habilitait ainsi les ministres concernés à prendre un arrêté interministériel pour créer des brigades mixtes de contrôle routier pour fixer les contrôles intempestifs par des agents de police de la circulation routière.
À Dakar, la tâche est confiée au commissariat central de Dakar qui a fait appel à 50 agents en service dans des postes et commissariats de la banlieue dakaroise.
Ces derniers sont clairement identifiés de par leur uniforme de service et leur képi de couleur blanche.
Ce, contrairement à leurs collègues des postes et commissariats de police en banlieue dakaroise qui portent un képi de couleur bleue foncée.
Ces derniers sont, désormais, interdits d'effectuer des opérations de contrôle ou de vérification des véhicules. Mieux, ils sont même privés d'attestations.
Mais, certains policiers des postes et/ou commissariats de la banlieue ignorent royalement la nouvelle mesure et continuent d'opérer de «se taper», des véhicules au niveau de la circulation.
Ils font d'abord semblant de ne pas effectuer de contrôle, se retranchent en douce dans un recoin en bordure de la chaussée et restent à l'affût.
Quand ils aperçoivent un véhicule boiteux ou à la vilaine carrosserie, ils sortent aussitôt du bois, l'immobilisent net sur le bas-côté de la route et confisquent les papiers de conduite. Ils tournent aussitôt le dos au chauffeur et feignent de vérifier l'état de la voiture.
Si le chauffeur interpelle l'agent de police sur le motif de l'immobilisation de sa caisse, ce dernier fait la sourde oreille et continue en toute tranquillité la traque aux autres usagers de la route. Mais, si l'automobiliste s'impatiente et réclame une attestation pour aller payer au bureau des contraventions de leur service, le policier lui rétorque avoir épuisé son stock d'attestations et s'éloigne de lui.
Ainsi, il confisque alors les papiers de conduite et le fait poireauter durant de longues heures avant de lâcher prise. A condition que celui-ci joue au dur à cuire ou se plie à ses desideratas. Les automobilistes qui ignorent la note de service en paient un lourd tribut.