Après l’échec des manœuvres sur les réalisations de la boucle de Kanoulaye, c’est une autre série de sabotage qui est entreprise. En effet, sur un chantier, il nous a été révélé qu’alors que ce marché de construction du pont de Diamniadio, a été attribué par la Délégation Générale à la Promotion des Pôles Urbains de Diamniadio et du Lac Rose (Dgpu) à Ecotra à travers un ordre de service et préfinancé sur fond propre par Ecotra elle-même, à hauteur 10 milliards.
D’après la source, une autre société, Matière SA a tenté de s’implanter sur le site de ce qui, à termes devrait être une infrastructure aux normes internationales de deux fois, trois voies fréquemment, réalisées dans des pays développés comme Dubai et contrairement aux ponts qu’on a l’habitude de voir au Sénégal.
Plus grave encore, c’est qu’avant même d'amener une autre société de Btp, il n’a été préalablement payer à Ecotra, encore moins lui présenter un document lui demandant d'arrêter le chantier. Pourtant, les travaux déjà effectués ont été réceptionnés par la Dgpu et Eiffage Ter. En langage technique, c'est à dire que les travaux sont inspectés et jugé bons.
C’est donc avec amertume que des travailleurs que nous avons rencontré nous racontent les manœuvres effectuées pour confier le projet à Matière SA, une société française qui, en lieu et place d’exécuter les travaux, sous-traite. Derrière cette attribution, toujours et encore le sieur Ibrahima Ndiaye de l’AGEROUTE.
Justement, souhaitant depuis le début du projet l’attribuer à Eiffage, il a voulu profiter d’une période de retard de paiement de la Dgpu pour accélérer la manœuvre. C’est clair que le seul objectif demeure satisfaire la promesse faite à Matière SA, de lui attribuer 18 ponts dans Dakar.
D’après ces témoignages, c’est au cours de l'exécution même du pont que Ecotra à été contraint d'arrêter provisoirement les travaux par des pratiques non conventionnelles, ralentir les activités, en bloquant un passage obligatoire que les engins utilisent pour se rendre au niveau du pont. Heureusement qu’aujourd’hui, le pire a évité de justesse. Face à une tentative d’occupation du site du pont de Diamniadio par le dépôt de fer, les envahisseurs ont été chassés du terrain.
Affaire à suivre...
D’après la source, une autre société, Matière SA a tenté de s’implanter sur le site de ce qui, à termes devrait être une infrastructure aux normes internationales de deux fois, trois voies fréquemment, réalisées dans des pays développés comme Dubai et contrairement aux ponts qu’on a l’habitude de voir au Sénégal.
Plus grave encore, c’est qu’avant même d'amener une autre société de Btp, il n’a été préalablement payer à Ecotra, encore moins lui présenter un document lui demandant d'arrêter le chantier. Pourtant, les travaux déjà effectués ont été réceptionnés par la Dgpu et Eiffage Ter. En langage technique, c'est à dire que les travaux sont inspectés et jugé bons.
C’est donc avec amertume que des travailleurs que nous avons rencontré nous racontent les manœuvres effectuées pour confier le projet à Matière SA, une société française qui, en lieu et place d’exécuter les travaux, sous-traite. Derrière cette attribution, toujours et encore le sieur Ibrahima Ndiaye de l’AGEROUTE.
Justement, souhaitant depuis le début du projet l’attribuer à Eiffage, il a voulu profiter d’une période de retard de paiement de la Dgpu pour accélérer la manœuvre. C’est clair que le seul objectif demeure satisfaire la promesse faite à Matière SA, de lui attribuer 18 ponts dans Dakar.
D’après ces témoignages, c’est au cours de l'exécution même du pont que Ecotra à été contraint d'arrêter provisoirement les travaux par des pratiques non conventionnelles, ralentir les activités, en bloquant un passage obligatoire que les engins utilisent pour se rendre au niveau du pont. Heureusement qu’aujourd’hui, le pire a évité de justesse. Face à une tentative d’occupation du site du pont de Diamniadio par le dépôt de fer, les envahisseurs ont été chassés du terrain.
Affaire à suivre...