L’Office national de l’Assainissement a mis les moyens pour relever les défis. Les différents responsables de ladite Institution s’engagent pleinement à lever tous les obstacles, liés à la mise en œuvre des travaux. Mais, il a été constaté que les contraintes se trouvent à l’extérieur de la Cité. Juste, de l’autre côté du mur, près de l’autoroute, avec des fleuristes qui ont des planches de plantes ornementales sur l’emprise du collecteur. Ces occupations sont un obstacle à l’intervention de l’équipe de l’Onas, à l’entretien préventif du collecteur. À la cité Bellevue, les résidents qui avaient entrepris, à l’époque, une démarche auprès des maraîchers, sollicitent aujourd’hui, l’intervention de l’autorité publique pour l’intérêt général et leur bien-être.
« L’Onas ne peut pas exécuter des travaux du fait de l’occupation de l’espace par les maraîchers. Le préfet de la ville doit nous aider à libérer le tracé de la canalisation. Nous avions mené des démarches qui n’avaient pas donné de résultats », se souvient Mame Khady Badiane, adjointe au Secrétaire général de l’Association des habitants de la cité Bellevue.
Libérer une bande de 4 mètres
La libération d’une bande de 4 mètres est une exigence. Dans ce coin des Maristes, on n’a pas besoin de prêcher pour convaincre les résidents de l’importance de l’accès aux services de l’assainissement. Ils ont déjà trop souffert de leur position géographique et ne veulent pas que d’autres occupations irrégulières de l’espace viennent assombrir la lueur apportée par les autorités. « Il y a un risque énorme, si l’emprise du côté de l’autoroute n’est pas libérée par les maraîchers. Il faut au moins une bande de 4 mètres entre le mur et les maraîchers. Il s’y ajoute que l’Onas ne peut pas accéder à ses ouvrages à cause des occupations par les maraîchers. Cela ne doit pas remettre en cause l’exécution du projet. Notre cité mérite d’être protégée. L’Etat doit aider à préserver une bande d’une largeur de 4 mètres », plaide Alassane Seck, Secrétaire général de l’Association des habitants de la cité Bellevue.
Ce couloir de sécurité est aménagé en amont, à la hauteur du mur de la centrale de la Senelec. Le Collectif croit qu’il faut une zone tampon qui réduirait la pression sur le mur et les risques de débordements. Mais ce couloir permettrait à l’ONAS d’intervenir à tout moment, d’autant plus que la cité sera dotée de deux systèmes d’assainissement, l’un pour les eaux usées et l’autre pour les eaux pluviales. « Le Directeur général de l’ONAS est venu avec ses équipes et l’entreprise en charge de la mise en œuvre du projet d’assainissement de la cité Bellevue, aussi bien pour les eaux pluviales que les eaux usées, est déjà sur place. Nous poussons un ouf de soulagement. Le projet suscite de l’espoir. Au bout de 4 mois, la cité retrouvera son lustre d’antan, sa beauté, elle méritera son nom. Donc, il faut faire comme la Senelec, laisser une bande de 4 mètres entre le mur et les maraîchers », a argumenté Alassane Seck.
Un goulot d’étranglement pour les interventions
Les craintes des habitants rencontrent les préoccupations des agents de l’Onas. Leurs interventions de routine (maintenance préventive du collecteur) ou celles d’urgence pour les réparations, sont souvent retardées à cause de l’empiétement du collecteur par les maraîchers et les fleuristes. « Nous avons présentement un bouchon au niveau du collecteur qui longe la cité Bellevue. Mais, nous avons un problème d’accès à cause de l’empiétement de l’ouvrage. Il faut une voie pour intervenir. D’habitude, nous procédons à des entretiens de nos collecteurs mais nous ne pouvons pas le faire tout le temps », avance El Hadji Lô, Chef du Département Exploitation à l’ONAS. L’aménagement de ce corridor de sécurité est une urgence pour mille et une raisons.
« L’Onas ne peut pas exécuter des travaux du fait de l’occupation de l’espace par les maraîchers. Le préfet de la ville doit nous aider à libérer le tracé de la canalisation. Nous avions mené des démarches qui n’avaient pas donné de résultats », se souvient Mame Khady Badiane, adjointe au Secrétaire général de l’Association des habitants de la cité Bellevue.
Libérer une bande de 4 mètres
La libération d’une bande de 4 mètres est une exigence. Dans ce coin des Maristes, on n’a pas besoin de prêcher pour convaincre les résidents de l’importance de l’accès aux services de l’assainissement. Ils ont déjà trop souffert de leur position géographique et ne veulent pas que d’autres occupations irrégulières de l’espace viennent assombrir la lueur apportée par les autorités. « Il y a un risque énorme, si l’emprise du côté de l’autoroute n’est pas libérée par les maraîchers. Il faut au moins une bande de 4 mètres entre le mur et les maraîchers. Il s’y ajoute que l’Onas ne peut pas accéder à ses ouvrages à cause des occupations par les maraîchers. Cela ne doit pas remettre en cause l’exécution du projet. Notre cité mérite d’être protégée. L’Etat doit aider à préserver une bande d’une largeur de 4 mètres », plaide Alassane Seck, Secrétaire général de l’Association des habitants de la cité Bellevue.
Ce couloir de sécurité est aménagé en amont, à la hauteur du mur de la centrale de la Senelec. Le Collectif croit qu’il faut une zone tampon qui réduirait la pression sur le mur et les risques de débordements. Mais ce couloir permettrait à l’ONAS d’intervenir à tout moment, d’autant plus que la cité sera dotée de deux systèmes d’assainissement, l’un pour les eaux usées et l’autre pour les eaux pluviales. « Le Directeur général de l’ONAS est venu avec ses équipes et l’entreprise en charge de la mise en œuvre du projet d’assainissement de la cité Bellevue, aussi bien pour les eaux pluviales que les eaux usées, est déjà sur place. Nous poussons un ouf de soulagement. Le projet suscite de l’espoir. Au bout de 4 mois, la cité retrouvera son lustre d’antan, sa beauté, elle méritera son nom. Donc, il faut faire comme la Senelec, laisser une bande de 4 mètres entre le mur et les maraîchers », a argumenté Alassane Seck.
Un goulot d’étranglement pour les interventions
Les craintes des habitants rencontrent les préoccupations des agents de l’Onas. Leurs interventions de routine (maintenance préventive du collecteur) ou celles d’urgence pour les réparations, sont souvent retardées à cause de l’empiétement du collecteur par les maraîchers et les fleuristes. « Nous avons présentement un bouchon au niveau du collecteur qui longe la cité Bellevue. Mais, nous avons un problème d’accès à cause de l’empiétement de l’ouvrage. Il faut une voie pour intervenir. D’habitude, nous procédons à des entretiens de nos collecteurs mais nous ne pouvons pas le faire tout le temps », avance El Hadji Lô, Chef du Département Exploitation à l’ONAS. L’aménagement de ce corridor de sécurité est une urgence pour mille et une raisons.