Les travaux sont arrêtés depuis lors. Selon la présidente du mouvement «Les Visionnaires» et 3e adjointe du maire de la commune de Dalifort, les autorités locales ont tout fait mais la situation reste toujours bloquée. D’où le cri de cœur de Marième Diouf.
«Monsieur le président de la République, nous vous demandons solennellement, de nous aider à régler ce litige foncier qui bloque la construction de l’école primaire publique à Darou Salam. La mairie a tout fait mais la situation est toujours bloquée. C’est une urgence d’avoir une école primaire à Darou Salam. Vous êtes la seule personne à pouvoir régler ce problème», plaide-t-elle.
La présidente du mouvement «Les Visionnaires» a procédé ce week-end, à la remise de fournitures scolaires et de cartes d’assurance à l’endroit des élèves de Dalifort.
«Nous avons distribué 500 kits scolaires à 500 élèves de Dalifort. Ils sont issus des 22 quartiers de la commune. Aussi, dans ce choix, les handicapés n'ont pas été laissés en rade», explique Marième Diouf.
À l’en croire, cet acte vise à soulager certains parents dans un contexte difficile, caractérisé par la crise économique. « Ces enfants sont les nôtres et nous voudrions qu'ils soient au même pied, avoir la même chance de réussir tous autant qu'ils sont », ajoute la responsable politique du Ldr/Yéssal.
Tribune
«Monsieur le président de la République, nous vous demandons solennellement, de nous aider à régler ce litige foncier qui bloque la construction de l’école primaire publique à Darou Salam. La mairie a tout fait mais la situation est toujours bloquée. C’est une urgence d’avoir une école primaire à Darou Salam. Vous êtes la seule personne à pouvoir régler ce problème», plaide-t-elle.
La présidente du mouvement «Les Visionnaires» a procédé ce week-end, à la remise de fournitures scolaires et de cartes d’assurance à l’endroit des élèves de Dalifort.
«Nous avons distribué 500 kits scolaires à 500 élèves de Dalifort. Ils sont issus des 22 quartiers de la commune. Aussi, dans ce choix, les handicapés n'ont pas été laissés en rade», explique Marième Diouf.
À l’en croire, cet acte vise à soulager certains parents dans un contexte difficile, caractérisé par la crise économique. « Ces enfants sont les nôtres et nous voudrions qu'ils soient au même pied, avoir la même chance de réussir tous autant qu'ils sont », ajoute la responsable politique du Ldr/Yéssal.
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