Si avec la décision de ses avocats, via l’agent judiciaire de se pourvoir contre la décision du Tribunal de grande instance de Dakar, l’État vise à empêcher Ousmane Sonko de se présenter à la présidentielle de 2024, la consigne qu’il donnera le cas échéant en faveur d’un candidat, sera une arme redoutable contre le candidat de Benno bokk yaaakaar. En fait, si le leader de Pastef dissous a obtenu gain de cause devant la juridiction de premier degré dans l’affaire de sa radiation des listes électorales, il n’est pas encore au bout de ses peines.
La consigne de vote de Sonko ne peut être invalidée
L’État du Sénégal n’abdique pas. Il a décidé de se pourvoir en cassation devant la Cour suprême, prolongeant le suspense sur la validité ou non de la candidature du maire de Ziguinchor qui est en prison. Il y a aussi l’autre affaire qui oppose Mame Mbaye Niang au leader de Pastef et qui est toujours pendant devant la Cour suprême. Mais si la candidature d’Ousmane Sonko est suspendue à des décisions de justice, sa consigne de vote restera intacte.
En prison ou dehors, la consigne du maire de Ziguinchor fera mal au candidat du pouvoir
Qu’il soit en prison ou dehors, sa consigne pourrait peser sur la balance du scrutin contre le candidat du pouvoir, en l’occurrence, Amadou Ba. La décision de l’État de déposer un recours contre la décision du Tribunal de grande instance bloque ainsi Ousmane Sonko qui ne pourra jouir de ses droits civiques qu’après la fin de la procédure devant la Cour suprême.
S’il a bien sûr gain de cause à ce niveau. Pour rappel, au lendemain de la décision du Tribunal d’instance de Ziguinchor qui avait pris une décision en faveur du maire de la ville, le ministère de l’Intérieur, notamment, la direction générale des élections a refusé de lui délivrer les fiches officielles qui lui permettraient de recueillir des parrainages
Ousmane Sonko qui n’est toujours pas fixé sur son sort avec le pourvoi de l’État a désigné Bassirou Diomaye Faye comme leur candidat. Le Pastef étant dissous, ce dernier a décidé de se présenter à la prochaine présidentielle sous la bannière de Diomaye 2024.
Mais lui aussi est en prison et pourrait être frappé d’inéligibilité à tout moment. Les Patriotes étant décidés à viabiliser leur projet politique, la consigne de vote de leur leader qui ne peut être invalidée pourrait beaucoup peser sur la balance des résultats de la présidentielle du 25 février prochain.
La consigne de vote de Sonko ne peut être invalidée
L’État du Sénégal n’abdique pas. Il a décidé de se pourvoir en cassation devant la Cour suprême, prolongeant le suspense sur la validité ou non de la candidature du maire de Ziguinchor qui est en prison. Il y a aussi l’autre affaire qui oppose Mame Mbaye Niang au leader de Pastef et qui est toujours pendant devant la Cour suprême. Mais si la candidature d’Ousmane Sonko est suspendue à des décisions de justice, sa consigne de vote restera intacte.
En prison ou dehors, la consigne du maire de Ziguinchor fera mal au candidat du pouvoir
Qu’il soit en prison ou dehors, sa consigne pourrait peser sur la balance du scrutin contre le candidat du pouvoir, en l’occurrence, Amadou Ba. La décision de l’État de déposer un recours contre la décision du Tribunal de grande instance bloque ainsi Ousmane Sonko qui ne pourra jouir de ses droits civiques qu’après la fin de la procédure devant la Cour suprême.
S’il a bien sûr gain de cause à ce niveau. Pour rappel, au lendemain de la décision du Tribunal d’instance de Ziguinchor qui avait pris une décision en faveur du maire de la ville, le ministère de l’Intérieur, notamment, la direction générale des élections a refusé de lui délivrer les fiches officielles qui lui permettraient de recueillir des parrainages
Ousmane Sonko qui n’est toujours pas fixé sur son sort avec le pourvoi de l’État a désigné Bassirou Diomaye Faye comme leur candidat. Le Pastef étant dissous, ce dernier a décidé de se présenter à la prochaine présidentielle sous la bannière de Diomaye 2024.
Mais lui aussi est en prison et pourrait être frappé d’inéligibilité à tout moment. Les Patriotes étant décidés à viabiliser leur projet politique, la consigne de vote de leur leader qui ne peut être invalidée pourrait beaucoup peser sur la balance des résultats de la présidentielle du 25 février prochain.