Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’affaire Serigne Assane Mbacké n’est pas ordinaire. En atteste l’impressionnant dispositif sécuritaire mis en place depuis que le jeune Mbacké-Mbacké a été placé sous mandat de dépôt par Makha Barry, juge du premier cabinet d’instruction du tribunal régional de Diourbel.
En effet, depuis ce jour, un cantonnement du Groupement mobile d’intervention (Gmi) a été installé dans le centre-ville de Diourbel. Des forces de l’ordre, lourdement armées, forment un cordon sécuritaire à l’intérieur, aux alentours du tribunal régional et au niveau de la Maison d’arrêt où un véhicule de police est stationné tous les jours.
Le calme plat qui régnait à la prison située près de la paroisse «Notre Dame des Victoires», de la gouvernance, de la préfecture, du centre culturel régional et du marché central «Ndoumbé Diop» a été perturbé du coup. Les visiteurs qui accédaient sur les lieux sans permis de visite, sont désormais triés sur le volet et scrupuleusement fouillés avant d’être interrogés sur les motifs de leurs visites.
Et c’est le même dispositif au palais de Justice où le seul agent de police et la demi-douzaine d’Agents de sécurité de proximité (Asp) sont désormais épaulés par des éléments du Gmi qui veillent au grain, prêtant attention aux moindres détails.
En plus, la sécurité des magistrats a été renforcée, aussi bien au tribunal que dans leurs domiciles respectifs.
Pour rappel, Serigne Assane Mbacké qui aurait revendiqué les incendies chez le député républicain Moustapha Cissé Lô alias El pistolero, le 20 juin 2014, est poursuivi pour les délits d’incendies volontaires de maisons habitées, vol en réunion avec effraction et escalade. Lesquels délits sont punis par les articles 364, 366, 368 et 406 du Code de procédure pénale. Il risque d’être renvoyé aux assises.
L'As
En effet, depuis ce jour, un cantonnement du Groupement mobile d’intervention (Gmi) a été installé dans le centre-ville de Diourbel. Des forces de l’ordre, lourdement armées, forment un cordon sécuritaire à l’intérieur, aux alentours du tribunal régional et au niveau de la Maison d’arrêt où un véhicule de police est stationné tous les jours.
Le calme plat qui régnait à la prison située près de la paroisse «Notre Dame des Victoires», de la gouvernance, de la préfecture, du centre culturel régional et du marché central «Ndoumbé Diop» a été perturbé du coup. Les visiteurs qui accédaient sur les lieux sans permis de visite, sont désormais triés sur le volet et scrupuleusement fouillés avant d’être interrogés sur les motifs de leurs visites.
Et c’est le même dispositif au palais de Justice où le seul agent de police et la demi-douzaine d’Agents de sécurité de proximité (Asp) sont désormais épaulés par des éléments du Gmi qui veillent au grain, prêtant attention aux moindres détails.
En plus, la sécurité des magistrats a été renforcée, aussi bien au tribunal que dans leurs domiciles respectifs.
Pour rappel, Serigne Assane Mbacké qui aurait revendiqué les incendies chez le député républicain Moustapha Cissé Lô alias El pistolero, le 20 juin 2014, est poursuivi pour les délits d’incendies volontaires de maisons habitées, vol en réunion avec effraction et escalade. Lesquels délits sont punis par les articles 364, 366, 368 et 406 du Code de procédure pénale. Il risque d’être renvoyé aux assises.
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