Pour identifier biométriquement les candidats à l"émigration clandestine, histoire de les repousser durablement hors de leur pays, les européens financent une technologie haut de gamme à hauteur de soixante (60) milliards de nos francs.
Le développement du système est confié à Civipol, une société de conseil du ministère de l'Intérieur français.
Des Ong s'inquiètent des abus qui pourraient découler des données personnelles des citoyens.
Le développement du système est confié à Civipol, une société de conseil du ministère de l'Intérieur français.
Des Ong s'inquiètent des abus qui pourraient découler des données personnelles des citoyens.