Ça n'arrive pas tous les jours. Le recueillement observé lors de l'inhumation d'un être cher au cimetière a été, pour une fois brisé momentanément.
De quoi s'est-il agit ? La sonnerie d'un téléphone émanant d'un cercueil au moment de l'enterrement, a créé samedi 15 février une panique et une débandade généralisée parmi les membres de la famille du défunt et autres personnes venus assister à la mise en terre de l'un d'eux au cimetière de Kintambo.
Heureusement, il y avait tout de même des membres de famille qui gardaient leur maîtrise. Ils ont aussitôt eu le réflexe d'alerter les responsable de la morgue ou avait été gardé le corps. Ces derniers ont rassuré leurs correspondants que le portable incriminé appartenait à l'embaumeur du corps, qui, par mégarde, l'avait oublié sur le défunt.
Rassurés, les membres de la famille ont rouvert le cercueil pour retirer sans crainte le portable. Ce n'était donc pas le téléphone du défunt qu'on enterrait. Son propriétaire, l'embaumeur l'a ensuite récupéré en toute quiétude. Et la panique a cessé. Le calme est revenu éloignant d'eux tout soupçon.
Patrice Ntanga, Ai Kinshasa
De quoi s'est-il agit ? La sonnerie d'un téléphone émanant d'un cercueil au moment de l'enterrement, a créé samedi 15 février une panique et une débandade généralisée parmi les membres de la famille du défunt et autres personnes venus assister à la mise en terre de l'un d'eux au cimetière de Kintambo.
Heureusement, il y avait tout de même des membres de famille qui gardaient leur maîtrise. Ils ont aussitôt eu le réflexe d'alerter les responsable de la morgue ou avait été gardé le corps. Ces derniers ont rassuré leurs correspondants que le portable incriminé appartenait à l'embaumeur du corps, qui, par mégarde, l'avait oublié sur le défunt.
Rassurés, les membres de la famille ont rouvert le cercueil pour retirer sans crainte le portable. Ce n'était donc pas le téléphone du défunt qu'on enterrait. Son propriétaire, l'embaumeur l'a ensuite récupéré en toute quiétude. Et la panique a cessé. Le calme est revenu éloignant d'eux tout soupçon.
Patrice Ntanga, Ai Kinshasa