Selon la note de licenciement signée par le nouveau directeur général du CHU, Denis Bernard Raiche, il est reproché notamment à Victor Bienvenu Kouama d’avoir tenu des propos injurieux et proféré des menaces à l’endroit des autorités. Mais ce licenciement ne passe aux yeux du Dr Albert Ngatsé Oko, membre de l’Intersyndicale.
« Un excès d'autorité »
« C’est très abusif, c’est un excès d’autorité et je crois que c’est même une dictature exercée par le DG canadien. Parce que un directeur général qui prend ses fonctions et même pas une semaine après commence par licencier un président de l’Intersyndicale, un travailleur protégé, sans respecter aucune procédure ni légale ni réglementaire, cela signifie que c’est un abus », a dénoncé M. Ngatsé Oko.
Il exige que le responsable licencié soit rétabli dans ses droits sans délai. « Nous restons extrêmement vigilants et attirons de plus en plus l’attention des autorités pour que ce genre de licenciement ne se répète plus », a-t-il clamé.
Jeudi, une réunion de négociations entre la direction et les travailleurs du CHU a échoué. Ces derniers menacent d’entrer en grève générale illimitée à compter du 12 octobre si la décision de licencier leur collègue est maintenue.
« Un excès d'autorité »
« C’est très abusif, c’est un excès d’autorité et je crois que c’est même une dictature exercée par le DG canadien. Parce que un directeur général qui prend ses fonctions et même pas une semaine après commence par licencier un président de l’Intersyndicale, un travailleur protégé, sans respecter aucune procédure ni légale ni réglementaire, cela signifie que c’est un abus », a dénoncé M. Ngatsé Oko.
Il exige que le responsable licencié soit rétabli dans ses droits sans délai. « Nous restons extrêmement vigilants et attirons de plus en plus l’attention des autorités pour que ce genre de licenciement ne se répète plus », a-t-il clamé.
Jeudi, une réunion de négociations entre la direction et les travailleurs du CHU a échoué. Ces derniers menacent d’entrer en grève générale illimitée à compter du 12 octobre si la décision de licencier leur collègue est maintenue.