La famille chrétienne n’en revenait pas quand elle a voulu récupérer le corps d’un de ses parents pour les besoins des funérailles. A leur arrivée à la morgue, les membres de cette famille chrétienne ont failli tomber des nues pour avoir constaté la disparition de leur défunt frère.
Après vérification il se trouve qu’une famille chérifienne, par manque d’attention, avait récupéré le corps avant de l’inhumer dans un cimetière musulman ? Sacrilège. La famille du chrétien, qui ne voulait pas entendre parler de cela, a immédiatement saisi les autorités avant d’exiger l’exhumation du corps. Une requête exécutée avec l’appui du gouverneur et des autorités judiciaires. « C’est une confusion de corps qu’on a constaté à la morgue. Mais au moment où je vous parle, tout est rentré dans l’ordre. Le corps a été exhumé par les sapeurs-pompiers. Et tous les deux corps se trouvent présentement à la morgue de l’hôpital régional », confirme Marcel Coly Bop, directeur de l’hôpital régional de Ziguinchor.
Déplorant ce fait divers qui fait l’objet de commentaires dans la capitale du Sud, M. Bop dit avoir donné des directives pour que de tels actes ne se produisent plus dans l’hôpital qu’il dirige. « J’ai invité le chef de la division Hygiène et Sécurité à être plus vigilant, et de multiplier des contrôles au niveau de la morgue, en impliquant ses collègues », soutient Marcel Coly Bop, le directeur de l’hôpital régional de Ziguinchor.
L’As
Après vérification il se trouve qu’une famille chérifienne, par manque d’attention, avait récupéré le corps avant de l’inhumer dans un cimetière musulman ? Sacrilège. La famille du chrétien, qui ne voulait pas entendre parler de cela, a immédiatement saisi les autorités avant d’exiger l’exhumation du corps. Une requête exécutée avec l’appui du gouverneur et des autorités judiciaires. « C’est une confusion de corps qu’on a constaté à la morgue. Mais au moment où je vous parle, tout est rentré dans l’ordre. Le corps a été exhumé par les sapeurs-pompiers. Et tous les deux corps se trouvent présentement à la morgue de l’hôpital régional », confirme Marcel Coly Bop, directeur de l’hôpital régional de Ziguinchor.
Déplorant ce fait divers qui fait l’objet de commentaires dans la capitale du Sud, M. Bop dit avoir donné des directives pour que de tels actes ne se produisent plus dans l’hôpital qu’il dirige. « J’ai invité le chef de la division Hygiène et Sécurité à être plus vigilant, et de multiplier des contrôles au niveau de la morgue, en impliquant ses collègues », soutient Marcel Coly Bop, le directeur de l’hôpital régional de Ziguinchor.
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