"Nous appelons les dirigeants à respecter les accords qu’eux-mêmes ont conclus dans les chartes électorales au profit de la promotion de la démocratie", a affirmé Florent Geel, membre de FIDH France, lors de la clôture de la Conférence de la société civile sur la participation citoyenne et la promotion de la démocratie en Afrique francophone rapporte l’Aps.
L’objectif est d’arriver à des convergences qui permettront à l’Afrique d’aller de l’avant en rompant définitivement avec les confiscations du pouvoir, explique-t-on dans les rangs de ces militants de la société civile de divers horizons. Au cours de ces assises de deux jours, une feuille de route a été élaborée pour suivre de près les élections en Afrique, signale-t-on.
Ainsi, il s’agit de veiller à la participation de la société civile à toutes les étapes du processus électoral, pour éviter les dérapages, et avoir accès aux urnes sans contraintes. Et par contre, selon Florent Geel, « nous condamnons avec fermeté les dérives des constitution et les tentatives de coup d’Etat ». Ils appellent la communauté internationale à prendre ses responsabilités en vue de favoriser des institutions crédibles et démocratiques en Afrique.
"Malgré quelques évolutions positives, le système politique en Afrique demeure toujours déficient", a pour sa part déploré la présidente honoraire de la FIDH, Souhayr Belhassen. Tout en dénonçant les manœuvres dilatoires de politiques africains pour s’éterniser au pouvoir, elle a expliqué que le but de leurs actions était de lutter contre la corruption qui devient un levier fort pour accéder à la magistrature suprême. Aussi, a-t-elle insisté sur le rôle et le respect du droit qui constitue une dimension importante dans le jeu de la démocratie.
L’objectif est d’arriver à des convergences qui permettront à l’Afrique d’aller de l’avant en rompant définitivement avec les confiscations du pouvoir, explique-t-on dans les rangs de ces militants de la société civile de divers horizons. Au cours de ces assises de deux jours, une feuille de route a été élaborée pour suivre de près les élections en Afrique, signale-t-on.
Ainsi, il s’agit de veiller à la participation de la société civile à toutes les étapes du processus électoral, pour éviter les dérapages, et avoir accès aux urnes sans contraintes. Et par contre, selon Florent Geel, « nous condamnons avec fermeté les dérives des constitution et les tentatives de coup d’Etat ». Ils appellent la communauté internationale à prendre ses responsabilités en vue de favoriser des institutions crédibles et démocratiques en Afrique.
"Malgré quelques évolutions positives, le système politique en Afrique demeure toujours déficient", a pour sa part déploré la présidente honoraire de la FIDH, Souhayr Belhassen. Tout en dénonçant les manœuvres dilatoires de politiques africains pour s’éterniser au pouvoir, elle a expliqué que le but de leurs actions était de lutter contre la corruption qui devient un levier fort pour accéder à la magistrature suprême. Aussi, a-t-elle insisté sur le rôle et le respect du droit qui constitue une dimension importante dans le jeu de la démocratie.