Selon Alioune Ndiaye le secrétaire général du Sutimac, leurs doléances sont sériées. Ainsi, il a évoqué le non-respect par Twyford de la durée de travail de 8 heures à la place des 18 heures faites quotidiennement par les travailleurs. «Les normes sanitaires et sécuritaires et de protection des travailleurs sont laissées en rade et les plongent dans des conditions de travail pénible», selon lui.
Egrenant le lot des difficultés, le secrétaire général du Sutimac a insisté sur «l’absence d’équipements de protection dans certains départements de l’usine. L’absence de primes de salissures et la substitution de la subvention sur le transport et la restauration ne sont du goût des travailleurs».
La précarité de l’emploi est mise en relief au centre des revendications. Par conséquent, le secrétaire général a été amer à l’endroit du gouvernement et de l’Apix. Il les accuse de protéger et de favoriser les promoteurs investisseurs qui se sont permis de frapper des travailleurs en toute impunité ou de rire sous cap des blessés. Ils ont dénoncé en outre les contrats de journaliers sur une durée de cinq années.
La mort dans l’âme, les syndicalistes en ont appelé à l’exécution d’un plan de lutte pour recouvrer leur dignité car malgré les efforts de dialogue, la direction de Twyford ceramics persiste dans ses pratiques, intimide les délégués syndicaux victimes des discriminations de la hiérarchie et décourage des employés qui naviguent dans la précarité
Sud quotidien
Egrenant le lot des difficultés, le secrétaire général du Sutimac a insisté sur «l’absence d’équipements de protection dans certains départements de l’usine. L’absence de primes de salissures et la substitution de la subvention sur le transport et la restauration ne sont du goût des travailleurs».
La précarité de l’emploi est mise en relief au centre des revendications. Par conséquent, le secrétaire général a été amer à l’endroit du gouvernement et de l’Apix. Il les accuse de protéger et de favoriser les promoteurs investisseurs qui se sont permis de frapper des travailleurs en toute impunité ou de rire sous cap des blessés. Ils ont dénoncé en outre les contrats de journaliers sur une durée de cinq années.
La mort dans l’âme, les syndicalistes en ont appelé à l’exécution d’un plan de lutte pour recouvrer leur dignité car malgré les efforts de dialogue, la direction de Twyford ceramics persiste dans ses pratiques, intimide les délégués syndicaux victimes des discriminations de la hiérarchie et décourage des employés qui naviguent dans la précarité
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