La bagarre qui a opposé Rokhaya Pouye dite « Aya » et Aida Ndong, deux principales rivales qui s'autoproclament toutes les deux, présidente de l’AIABS, se joue en prolongation devant la barre de la Cour d’Appel de Dakar. Les deux femmes ont soldé leur compte lundi.
En effet, l’ancienne capitaine des "Lionnes" de Basket, « Aya », a été traduite en justice par Aïda Ndong pour détournement de 40 millions. Cette dernière lui reproche d’avoir organisé une soirée, sans l’avis du bureau. Elle l’accuse d’avoir dissipé 40 millions de francs provenant des sponsors, des mécènes, des subventions de la Primature qui chaque année, leur offre 5 à 10 millions F Cfa ainsi que des billets d’avion. Aïda Ndong lui réclame aussi le récépissé de l’association.
Jugée en première instance, « Aya » a été reconnue coupable du délit d’abus de confiance avant d’être condamnée à 3 mois avec sursis et 10 millions de francs CFA en guise de dommages et intérêts.
Jugeant que la décision a été injuste à son égard, elle a interjeté appel.
Appelée à la barre de la Cour d'Appel de Dakar, la prévenue a soutenu : « Je ne reconnais pas le groupe de Aida Ndong. Nous ne boxons pas sur le même ring. Moi, je représente quelque chose dans ce pays. J’ai dirigé le basket-ball pendant 20 ans ».
Pour se défendre des accusations de Aïda Ndong et de sa bande, la prévenue de déclarer avoir reçu de la Primature en 2009 et 2010, deux chèques de 10 millions de F Cfa de la part de l’ancien Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye. « Les sorties d’argent étaient visibles », s’est-elle défendue.
Invitée devant le prétoire, Aïda Ndong charge « Aya » : « J’ai été élue en 2013, présidente à la suite d’une Assemblée générale où les 2/3 des membres ont été réunis comme le stipulent les textes de l’association ».
Elle a poursuivi : « Les 5 billets pour le pèlerinage à la Mecque de l’amicale, elle les a offerts à ses amies. Pis, elle a organisé une soirée animée par Pape Diouf sans nous aviser ».
L’avocat de la défense a plaidé la relaxe pure et simple de son client.
Le délibéré est attendu le 8 février prochain.
En effet, l’ancienne capitaine des "Lionnes" de Basket, « Aya », a été traduite en justice par Aïda Ndong pour détournement de 40 millions. Cette dernière lui reproche d’avoir organisé une soirée, sans l’avis du bureau. Elle l’accuse d’avoir dissipé 40 millions de francs provenant des sponsors, des mécènes, des subventions de la Primature qui chaque année, leur offre 5 à 10 millions F Cfa ainsi que des billets d’avion. Aïda Ndong lui réclame aussi le récépissé de l’association.
Jugée en première instance, « Aya » a été reconnue coupable du délit d’abus de confiance avant d’être condamnée à 3 mois avec sursis et 10 millions de francs CFA en guise de dommages et intérêts.
Jugeant que la décision a été injuste à son égard, elle a interjeté appel.
Appelée à la barre de la Cour d'Appel de Dakar, la prévenue a soutenu : « Je ne reconnais pas le groupe de Aida Ndong. Nous ne boxons pas sur le même ring. Moi, je représente quelque chose dans ce pays. J’ai dirigé le basket-ball pendant 20 ans ».
Pour se défendre des accusations de Aïda Ndong et de sa bande, la prévenue de déclarer avoir reçu de la Primature en 2009 et 2010, deux chèques de 10 millions de F Cfa de la part de l’ancien Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye. « Les sorties d’argent étaient visibles », s’est-elle défendue.
Invitée devant le prétoire, Aïda Ndong charge « Aya » : « J’ai été élue en 2013, présidente à la suite d’une Assemblée générale où les 2/3 des membres ont été réunis comme le stipulent les textes de l’association ».
Elle a poursuivi : « Les 5 billets pour le pèlerinage à la Mecque de l’amicale, elle les a offerts à ses amies. Pis, elle a organisé une soirée animée par Pape Diouf sans nous aviser ».
L’avocat de la défense a plaidé la relaxe pure et simple de son client.
Le délibéré est attendu le 8 février prochain.