Exploitant la déclartion des inititeurs, la presse titre : « Alioune Tine, Meiway, Didier Awadi et compagnie mettent la pression sur Macky Sall contre un troisième mandat ».
En plus de Meiway (Côte d’Ivoire), Awadi (Sénégal), le concert devrait réunir sur scène neuf autres artistes du Niger, du Togo, du Gabon, de la RDC et du Bénin. Avec un single déjà enregistré sur la démocratie. Auparavant, dans la démarche de Alioune Tine et Didier Awadi pour faire participer des artistes-musiciens sénégalais du projet politicien, la plupart des artistes approchés ou contactés ont décliné la proproposition.
« J’étais contacté avec des amis artistes pour prendre par au projet contre le troisième mandat en Afrique avec des propositions de cachets interessants, mais, à y voir de près, nous avons refusé de participer à cette campagne dont l’argent vient de l’extérieur et aussi dont la pertinence laisse à désirer car on a voulu nous embarquer dans une histoire politicienne qui ne dit pas son nom » confient un groupe d’artistes sénégalais.
Deux paroliers sénégalais ont refusé d’écrire le texte du single dont les grandes lignes constituent des accustions légères et partisanes. Au fait, à quel jeu joue Alioune Tine ? Cet acteur de la société civile partisane qui obeït aux instructions de ses bailleurs de fonds étrangers, fait feu de tout bois pour l’instabilité du pays pour que son fonds de commerce et de chantage puisse prospérer au profit des fossoyeurs étrangers du Sénégal. C’est pourquoi, Alioune Tine soutient ce projet gabégique, Mémorial de Gorée de son ami Amadou Lamine Sall, ce poète en mal d’inspiration au moment où des jeunes plumes Mougar Sarr, Khalil Diallo, Hamidou Hanne, Diarry Sow, Elgas et d’autres plumes confirmées Seydi Sow, Rakhmatou Seck Samb, Boris Diop, Colonel Moumar Gueye, Sokhna Benga, Mariama Ndoye, Andrée Marie Diagne entre autres, enrichissent la production littéraire africaine et mondiale. Vouloir tenir un concert dans un hôtel de 5 Etoiles et y loger pour même des répétitions, c’est un budget lourd. D’où vient le financement d’un tel projet ?
Mais, chaque pays a ses lois et réglements et aussi sa constitution. Mais n’importe quel citoyen peut poser sa candidature. Y compris celui qui veut faire un troisième mandat ou pas. Mais c’est au Conseil constitutionnel de valider ou d’invalider : c’est ça aussi la démocratie, respecter les institutions. Me Wade a fait un 3ème mandat validé par le Conseil constitutionnel, mais il a perdu l’élection présidentielle. Le Sénégal a continué. Mais comment, on n’en est pas encore là, des artistes aux objectifs inavoués veulent être aussi politiciens à ce point.
L’aurorité a raison de dire stop. Frédérik Meiway, personne ne l’a entendu pendant plusieurs années en Côte d’Ivoire élever la voix sur le 3ème mandat ou sur l’ivoirité. Au contraire, il était un des défenseurs de cette thèse d’exclusion. A quelle démocratie dont il nous parle. Et Meiway n’est plus productif musicalement, il s’accroche sur des fonds étrangers. En Côte d’Ivoire, Alpha Blondy, Tiken Jah Fakoly, Magic System et tant d’autres ont dénoncé l’ivoirité.
Au Sénégal, plusieurs artistes contactés, n’ont pas suivi Didier Awadi et Alioune Tine car Didier Awadi est un artiste-affairiste. Le panafricanisme en bandoulière est du business pour lui. Depuis l’éclatement de Positive Black Soul depuis qu’il a fait sortir Amadou Barry alias Doug E Tee, Didier est l’ombre de lui-même. Il ne chante pas bien, il n’est pas créatif. L’essence de Positive Black Soul, c’était Doug E Tee, le rappeur à la voix d’or. Didier s’est lancé dans le traffic d’influence, l’affairisme de mauvais goût, la chasse aux subventions. Tenez vous bien, lorsque l’appui du Président Macky Sall devait revenir pour chaque artistes ou acteur culturel, une aide uniquement, Didier Awadi s’est vu aider à trois reprises avec ses ouailles (Studio Sankara) sur fonds Covid Cinéma, Musique sur le Fonds Association des Métiers de la Musique (AMS), Sodav sur le fonds covid des Droits d’auteur.
Ensuite, Didier Awadi avec ses amis Fou Malade, Simon Kouka, Doctor Graffiti, Safouane Pindra, Nit Dof (Pastef), Kilifa et Thiat (Keur Gui) se sont presque accaparés du Fonds des Cultures urbaines au détriment des autres rappeurs comme Daara J, Bamba J Fall, des rappeurs et acteurs des cultures urbaines des régions. Tout cela à cause des complicités d’agents du ministère de la Culture. A la tête, le Ministre de la Culture et de la Communication.
Force doit rester à la loi dans un pays nouvellement gazier et pétrolier, l’Etat doit surveiller et annihiler rapidement les velléités et tentatives de déstabilisation d’où qu’elles viennent. Le Sénégal fidèle à sa tradition de stabilité sociale grâce aux mécanismes endogènes de consolidation de la cohésion sociale doit faire face aux oiseaux de mauvais augure qui ambitionnent de faire basculer ce pays vers le chaos.
D’après Ahmed Diop, artiste et acteur culturel, il appartient à l’Etat de remplir pleinement sa mission régalienne de défendre le Sénégal, de garantir la paix et la sécurité pour un développement souhaité.
En plus de Meiway (Côte d’Ivoire), Awadi (Sénégal), le concert devrait réunir sur scène neuf autres artistes du Niger, du Togo, du Gabon, de la RDC et du Bénin. Avec un single déjà enregistré sur la démocratie. Auparavant, dans la démarche de Alioune Tine et Didier Awadi pour faire participer des artistes-musiciens sénégalais du projet politicien, la plupart des artistes approchés ou contactés ont décliné la proproposition.
« J’étais contacté avec des amis artistes pour prendre par au projet contre le troisième mandat en Afrique avec des propositions de cachets interessants, mais, à y voir de près, nous avons refusé de participer à cette campagne dont l’argent vient de l’extérieur et aussi dont la pertinence laisse à désirer car on a voulu nous embarquer dans une histoire politicienne qui ne dit pas son nom » confient un groupe d’artistes sénégalais.
Deux paroliers sénégalais ont refusé d’écrire le texte du single dont les grandes lignes constituent des accustions légères et partisanes. Au fait, à quel jeu joue Alioune Tine ? Cet acteur de la société civile partisane qui obeït aux instructions de ses bailleurs de fonds étrangers, fait feu de tout bois pour l’instabilité du pays pour que son fonds de commerce et de chantage puisse prospérer au profit des fossoyeurs étrangers du Sénégal. C’est pourquoi, Alioune Tine soutient ce projet gabégique, Mémorial de Gorée de son ami Amadou Lamine Sall, ce poète en mal d’inspiration au moment où des jeunes plumes Mougar Sarr, Khalil Diallo, Hamidou Hanne, Diarry Sow, Elgas et d’autres plumes confirmées Seydi Sow, Rakhmatou Seck Samb, Boris Diop, Colonel Moumar Gueye, Sokhna Benga, Mariama Ndoye, Andrée Marie Diagne entre autres, enrichissent la production littéraire africaine et mondiale. Vouloir tenir un concert dans un hôtel de 5 Etoiles et y loger pour même des répétitions, c’est un budget lourd. D’où vient le financement d’un tel projet ?
Mais, chaque pays a ses lois et réglements et aussi sa constitution. Mais n’importe quel citoyen peut poser sa candidature. Y compris celui qui veut faire un troisième mandat ou pas. Mais c’est au Conseil constitutionnel de valider ou d’invalider : c’est ça aussi la démocratie, respecter les institutions. Me Wade a fait un 3ème mandat validé par le Conseil constitutionnel, mais il a perdu l’élection présidentielle. Le Sénégal a continué. Mais comment, on n’en est pas encore là, des artistes aux objectifs inavoués veulent être aussi politiciens à ce point.
L’aurorité a raison de dire stop. Frédérik Meiway, personne ne l’a entendu pendant plusieurs années en Côte d’Ivoire élever la voix sur le 3ème mandat ou sur l’ivoirité. Au contraire, il était un des défenseurs de cette thèse d’exclusion. A quelle démocratie dont il nous parle. Et Meiway n’est plus productif musicalement, il s’accroche sur des fonds étrangers. En Côte d’Ivoire, Alpha Blondy, Tiken Jah Fakoly, Magic System et tant d’autres ont dénoncé l’ivoirité.
Au Sénégal, plusieurs artistes contactés, n’ont pas suivi Didier Awadi et Alioune Tine car Didier Awadi est un artiste-affairiste. Le panafricanisme en bandoulière est du business pour lui. Depuis l’éclatement de Positive Black Soul depuis qu’il a fait sortir Amadou Barry alias Doug E Tee, Didier est l’ombre de lui-même. Il ne chante pas bien, il n’est pas créatif. L’essence de Positive Black Soul, c’était Doug E Tee, le rappeur à la voix d’or. Didier s’est lancé dans le traffic d’influence, l’affairisme de mauvais goût, la chasse aux subventions. Tenez vous bien, lorsque l’appui du Président Macky Sall devait revenir pour chaque artistes ou acteur culturel, une aide uniquement, Didier Awadi s’est vu aider à trois reprises avec ses ouailles (Studio Sankara) sur fonds Covid Cinéma, Musique sur le Fonds Association des Métiers de la Musique (AMS), Sodav sur le fonds covid des Droits d’auteur.
Ensuite, Didier Awadi avec ses amis Fou Malade, Simon Kouka, Doctor Graffiti, Safouane Pindra, Nit Dof (Pastef), Kilifa et Thiat (Keur Gui) se sont presque accaparés du Fonds des Cultures urbaines au détriment des autres rappeurs comme Daara J, Bamba J Fall, des rappeurs et acteurs des cultures urbaines des régions. Tout cela à cause des complicités d’agents du ministère de la Culture. A la tête, le Ministre de la Culture et de la Communication.
Force doit rester à la loi dans un pays nouvellement gazier et pétrolier, l’Etat doit surveiller et annihiler rapidement les velléités et tentatives de déstabilisation d’où qu’elles viennent. Le Sénégal fidèle à sa tradition de stabilité sociale grâce aux mécanismes endogènes de consolidation de la cohésion sociale doit faire face aux oiseaux de mauvais augure qui ambitionnent de faire basculer ce pays vers le chaos.
D’après Ahmed Diop, artiste et acteur culturel, il appartient à l’Etat de remplir pleinement sa mission régalienne de défendre le Sénégal, de garantir la paix et la sécurité pour un développement souhaité.