«Il y a encore des femmes qui refusent de venir accoucher au niveau du poste de santé dans ma zone de responsabilité. Elles le font certainement par ignorance», a fait savoir pour le déplorer Madame Seynabou Diagne Diop. Avant d’alerter sur les risques liés à cette pratique.
«Elles peuvent faire des complications pouvant conduire à la perte de la vie. Les hémorragies de la délivrance, les déchirures entre autres peuvent survenir. S’y ajoute le tétanos néonatal», a-t-elle insisté.
C’est pourquoi, elle invite avec insistance ses sœurs du Fouladou à «accepter de se faire assister par un personnel qualifié». L’avantage, dit-elle, «cela permet d’accoucher dans des conditions de sécurité».
Mais aussi, «de faciliter l’obtention de la pièce d’état-civil, à partir du certificat d’accouchement qui est délivré sur place au niveau du poste de santé», a-t-elle poursuivi. Non sans déplorer les conditions dans lesquelles certaines femmes en travail d’accouchement, qui sont parfois évacuées à bord de charrettes ou de motos.
«Elles peuvent faire des complications pouvant conduire à la perte de la vie. Les hémorragies de la délivrance, les déchirures entre autres peuvent survenir. S’y ajoute le tétanos néonatal», a-t-elle insisté.
C’est pourquoi, elle invite avec insistance ses sœurs du Fouladou à «accepter de se faire assister par un personnel qualifié». L’avantage, dit-elle, «cela permet d’accoucher dans des conditions de sécurité».
Mais aussi, «de faciliter l’obtention de la pièce d’état-civil, à partir du certificat d’accouchement qui est délivré sur place au niveau du poste de santé», a-t-elle poursuivi. Non sans déplorer les conditions dans lesquelles certaines femmes en travail d’accouchement, qui sont parfois évacuées à bord de charrettes ou de motos.