Le premier constat des experts maliens et ivoiriens est que 19 ans se sont écoulés entre la troisième et quatrième session de la grande commission mixte de coopération Mali-Côte d'Ivoire, qui s’est s’achevée à Bamako vendredi.
« Ce n’est pas normal pour deux pays voisins », ont reconnu les délégués maliens et ivoiriens. Dans son intervention lors des entretiens officiels, le chef de la délégation ivoirienne, Kouyaté Abdoulaye, l’a rappelé, le Mali est le premier client mondial de la Côte d’Ivoire, mais également l’un des plus gros fournisseurs dans plusieurs domaines. Il faut donc redynamiser la coopération. Plusieurs domaines ont été ciblés, parmi lesquels le transport – le Mali n’a pas accès à la mer –, mais aussi l’agriculture, la santé, le tourisme, les mines et la géologie. Le domaine de la sécurité a été également évoqué.
Voulant probablement tirer les leçons de l’affaire des 49 militaires ivoiriens arrêtés à Bamako avant d’être jugés, condamnés, et graciés en janvier dernier, les deux pays envisagent de créer un cadre juridique afin d’éviter d’autres incidents de même nature.
« Ce n’est pas normal pour deux pays voisins », ont reconnu les délégués maliens et ivoiriens. Dans son intervention lors des entretiens officiels, le chef de la délégation ivoirienne, Kouyaté Abdoulaye, l’a rappelé, le Mali est le premier client mondial de la Côte d’Ivoire, mais également l’un des plus gros fournisseurs dans plusieurs domaines. Il faut donc redynamiser la coopération. Plusieurs domaines ont été ciblés, parmi lesquels le transport – le Mali n’a pas accès à la mer –, mais aussi l’agriculture, la santé, le tourisme, les mines et la géologie. Le domaine de la sécurité a été également évoqué.
Voulant probablement tirer les leçons de l’affaire des 49 militaires ivoiriens arrêtés à Bamako avant d’être jugés, condamnés, et graciés en janvier dernier, les deux pays envisagent de créer un cadre juridique afin d’éviter d’autres incidents de même nature.