Pour traduire sa vision de la politique de l’emploi consignée dans le Plan Sénégal émergent (PSE), différentes institutions sont mises en place ANPEJ, DER, 3FPT et le PRODAC (un scandale hors norme), dont l’objectif visé est la promotion de l’emploi et de l’insertion professionnelle des jeunes.
La dispersion de ces institutions et leurs dysfonctionnements organisationnels, comme le dédoublement des missions, ont handicapé la promotion de l’emploi et de l’insertion des Jeunes.
Le Président Macky Sall cherche à travers son programme d’urgence « Xëyu Ndaw Yi », la création de 65.000 emplois. Une solution immédiate et de court terme, pour remédier au problème du chômage avec des projets de travaux publics et ces projets n’ont pas d’effet important ou durable. Les emplois ainsi créés sont de courte durée et les salaires sont très bas.
Les bailleurs qui te donnent de l’argentn ne te laisseront jamais investir sur les secteurs de développement locaux porteurs d’emplois comme l’agriculture et l’artisanat. Ils vont te donner de l’argent pour que tu les utilises sur des projets qui enrichissent leurs entreprises et maintiennent ta dépendance. Pour les projets comme le TER, ce sont les entreprises étrangères qui vont faire le job, donc les gros salaires et les dividendes sortent du pays. Et ces entreprises bénéficient des exonérations, parallèlement les entreprises sénégalaises, surtout les petits entrepreneurs, payent des millions d’impôts.
Entrepreneuriat
L’ouverture du « China Mall » à Dakar, la malédiction des importations sans possibilité de concurrence. Beaucoup d’entrepreneurs se plaignent de la manière dont les Chinois les concurrencent, avec des prix extrêmement moins chers. À l’intérieur de cette boutique, on y trouve toutes sortes de produits.
Les autorités sénégalaises ont laissé les entrepreneures chinois envahir le marché avec leurs produits de telle sorte que beaucoup de nos commerçants devront s’aligner au même niveau des prix, au risque de disparaître.
Pourtant, le modèle que nous préconisons est très simple: favoriser la consommation locale, en augmentant les taxes sur les produits importés, ce qui va les obliger à vendre à des prix raisonnables et permettre à nos commerçants locaux de pouvoir les concurrencer.
En plus des taxes, d’autres restrictions peuvent intervenir, comme les quotas pour limiter les volumes et types de produits importés. La boutique « China Mall » vend des objets de décoration et chambres à coucher à des prix incroyablement moins chers. Et pourtant, les menuisiers locaux sont capables de fabriquer le genre de meubles importés par cette boutique chinoise.
Le Sénégal a intérêt à favoriser des produits localement aux produits d’importation, pour constituer un modèle bénéfique à l’économie nationale.
La dispersion de ces institutions et leurs dysfonctionnements organisationnels, comme le dédoublement des missions, ont handicapé la promotion de l’emploi et de l’insertion des Jeunes.
Le Président Macky Sall cherche à travers son programme d’urgence « Xëyu Ndaw Yi », la création de 65.000 emplois. Une solution immédiate et de court terme, pour remédier au problème du chômage avec des projets de travaux publics et ces projets n’ont pas d’effet important ou durable. Les emplois ainsi créés sont de courte durée et les salaires sont très bas.
Les bailleurs qui te donnent de l’argentn ne te laisseront jamais investir sur les secteurs de développement locaux porteurs d’emplois comme l’agriculture et l’artisanat. Ils vont te donner de l’argent pour que tu les utilises sur des projets qui enrichissent leurs entreprises et maintiennent ta dépendance. Pour les projets comme le TER, ce sont les entreprises étrangères qui vont faire le job, donc les gros salaires et les dividendes sortent du pays. Et ces entreprises bénéficient des exonérations, parallèlement les entreprises sénégalaises, surtout les petits entrepreneurs, payent des millions d’impôts.
Entrepreneuriat
L’ouverture du « China Mall » à Dakar, la malédiction des importations sans possibilité de concurrence. Beaucoup d’entrepreneurs se plaignent de la manière dont les Chinois les concurrencent, avec des prix extrêmement moins chers. À l’intérieur de cette boutique, on y trouve toutes sortes de produits.
Les autorités sénégalaises ont laissé les entrepreneures chinois envahir le marché avec leurs produits de telle sorte que beaucoup de nos commerçants devront s’aligner au même niveau des prix, au risque de disparaître.
Pourtant, le modèle que nous préconisons est très simple: favoriser la consommation locale, en augmentant les taxes sur les produits importés, ce qui va les obliger à vendre à des prix raisonnables et permettre à nos commerçants locaux de pouvoir les concurrencer.
En plus des taxes, d’autres restrictions peuvent intervenir, comme les quotas pour limiter les volumes et types de produits importés. La boutique « China Mall » vend des objets de décoration et chambres à coucher à des prix incroyablement moins chers. Et pourtant, les menuisiers locaux sont capables de fabriquer le genre de meubles importés par cette boutique chinoise.
Le Sénégal a intérêt à favoriser des produits localement aux produits d’importation, pour constituer un modèle bénéfique à l’économie nationale.