"L’Observateur" reconstitue le film de la mort atroce d’Abdoul Aziz Sy, ibn Serigne Moustapha Sy Djamil, poignardé à mort par son fils, M. Sy
Ce jour, le présumé meurtrier qui semblait de mauvaise humeur, quitte son domicile à la Sicap Baobabs. Il monte à bord de sa moto et se dirige au centre-ville. Il est 17 heures lorsqu’il débarque à l’appartement de son père sis à l’Avenue Jean Jaurès. Il sonne et accède à l’intérieur. Bouillant de rage, il confie aux enquêteurs qu’il s’est tout de suite donné en spectacle. En présence de sa mère, il demande à se faire remettre de l’argent. Son père intervient et le sermonne. Les choses vont aller très vite. C’est son père qui l’a attaqué en premier et il s’est défendu. Au cours de l’altercation, il a ramassé sur les lieux un couteau de poche qu’il a asséné à son père qui sera touché au thorax. Atteint, le père s’affale et se vide de son sang. Paniqué, il jette le couteau et disparaît.
Ce jour, le présumé meurtrier qui semblait de mauvaise humeur, quitte son domicile à la Sicap Baobabs. Il monte à bord de sa moto et se dirige au centre-ville. Il est 17 heures lorsqu’il débarque à l’appartement de son père sis à l’Avenue Jean Jaurès. Il sonne et accède à l’intérieur. Bouillant de rage, il confie aux enquêteurs qu’il s’est tout de suite donné en spectacle. En présence de sa mère, il demande à se faire remettre de l’argent. Son père intervient et le sermonne. Les choses vont aller très vite. C’est son père qui l’a attaqué en premier et il s’est défendu. Au cours de l’altercation, il a ramassé sur les lieux un couteau de poche qu’il a asséné à son père qui sera touché au thorax. Atteint, le père s’affale et se vide de son sang. Paniqué, il jette le couteau et disparaît.