La Chambre criminelle de Dakar a mis en délibéré au 2 juin, l’affaire Dame Ndiaye, 65 ans accusé d’avoir agressé et violé un domestique âgé de 11 ans. Cette dernière a succombé de ses blessures.
C’était le 30 juillet 2012 à Colobane. Selon le procès-verbal d’enquête, ce jour-là , le sexagénaire avait envoyé la fillette à la boutique. De retour, le vieux Ndiaye lui demande de déposer les bagages sur la table. Une fois entrée dans la chambre, il le rejoint et se jette sur elle. Après quelques attouchements, le vieux « pervers » va plus loin et décide de la pénétrer, pour une fois par voie vaginale. Et comme si cela ne suffisait pas comme atrocité, il retourne la petite fille et la pénètre une deuxième fois par voie anale avant de la menacer de mort si elle pipait un mot.
Malgré la douleur et la souffrance qu’elle a endurée la veille, elle est allée travailler le lendemain. Sa patronne remarque alors que la petite Dionne se tordait de douleur. Intriguée elle décide de la questionner, avant même de répondre elle s’évanouit.
Amenée à l’urgence à l’hôpital, à son réveil, le médecin lui pose des questions sur la cause de ses blessures, la jeune fille décide finalement de raconter son mésaventure. C’est par la suite que la pauvre petite Dionne succombe à ses blessures.
Appréhendé et arrêté par la police, le sexagénaire Dame Ndiaye nie tout en bloc, avançant la théorie d’un père modèle et n’ayant rien à se reprocher. A la barre de la chambre criminelle, le vieux réitère ses propos mais le procureur décide quand même de demander une peine de 20 ans de travaux forces.
« Cette fille est morte de douleur, sachez qu’elle ne pouvait ni se coucher, ni s’asseoir ni rester debout à cause de l’acte de pénétration ignoble, agressif et inhumain », assène le procureur, Saliou Ngom pour justifier son réquisitoire.
La chambre criminelle a renvoyé le délibéré le 2 janvier 2018.
C’était le 30 juillet 2012 à Colobane. Selon le procès-verbal d’enquête, ce jour-là , le sexagénaire avait envoyé la fillette à la boutique. De retour, le vieux Ndiaye lui demande de déposer les bagages sur la table. Une fois entrée dans la chambre, il le rejoint et se jette sur elle. Après quelques attouchements, le vieux « pervers » va plus loin et décide de la pénétrer, pour une fois par voie vaginale. Et comme si cela ne suffisait pas comme atrocité, il retourne la petite fille et la pénètre une deuxième fois par voie anale avant de la menacer de mort si elle pipait un mot.
Malgré la douleur et la souffrance qu’elle a endurée la veille, elle est allée travailler le lendemain. Sa patronne remarque alors que la petite Dionne se tordait de douleur. Intriguée elle décide de la questionner, avant même de répondre elle s’évanouit.
Amenée à l’urgence à l’hôpital, à son réveil, le médecin lui pose des questions sur la cause de ses blessures, la jeune fille décide finalement de raconter son mésaventure. C’est par la suite que la pauvre petite Dionne succombe à ses blessures.
Appréhendé et arrêté par la police, le sexagénaire Dame Ndiaye nie tout en bloc, avançant la théorie d’un père modèle et n’ayant rien à se reprocher. A la barre de la chambre criminelle, le vieux réitère ses propos mais le procureur décide quand même de demander une peine de 20 ans de travaux forces.
« Cette fille est morte de douleur, sachez qu’elle ne pouvait ni se coucher, ni s’asseoir ni rester debout à cause de l’acte de pénétration ignoble, agressif et inhumain », assène le procureur, Saliou Ngom pour justifier son réquisitoire.
La chambre criminelle a renvoyé le délibéré le 2 janvier 2018.