«L’État doit augmenter le prix du kg de l’arachide s’il veut vraiment atteindre son objectif en terme d’achat, mais aussi s’il veut préserver le capital semencier. C’est un moyen aussi pour les paysans d’en tirer profit», a-t-il déclaré à l’APS, nous dit "L'As".
Bachirou Ba s’entretenait avec des journalistes, mardi, au terme d’une visite de champs de cultures dans la région de Tambacounda (est). Il propose que le prix d’achat du kilogramme d’arachide soit fixé à au moins 500 FCFA. «Le kg de semence d’arachide est passé de 140 FCFA à 280 FCFA. L’engrais est passé de 7 000 à 9 000 FCFA. Et l’engrais urée est devenu plus cher encore, le sac étant passé de 9 000 à 18 750 FCFA», a-t-il souligné pour appuyer sa proposition.
Le président de «Aar Suñu Moomel», à la tête d’une délégation constituée de membres de son mouvement, effectue une tournée nationale pour constater de visu le comportement des cultures et le niveau d’exécution de la distribution de l’engrais et des semences.
«Le ministre de l’Agriculture avait annoncé que les engrais ont été distribués ainsi que les semences. Malheureusement, les nombreux paysans que nous avons rencontrés se sont plaints de la qualité et de la quantité des semences reçues», a affirmé M. Ba. Il a fait état d’une situation alarmante en cette période d’hivernage. «Partout où nous sommes passés, dit-il, le constat est le même. L’approvisionnement en engrais fait défaut».
Bachirou Ba s’entretenait avec des journalistes, mardi, au terme d’une visite de champs de cultures dans la région de Tambacounda (est). Il propose que le prix d’achat du kilogramme d’arachide soit fixé à au moins 500 FCFA. «Le kg de semence d’arachide est passé de 140 FCFA à 280 FCFA. L’engrais est passé de 7 000 à 9 000 FCFA. Et l’engrais urée est devenu plus cher encore, le sac étant passé de 9 000 à 18 750 FCFA», a-t-il souligné pour appuyer sa proposition.
Le président de «Aar Suñu Moomel», à la tête d’une délégation constituée de membres de son mouvement, effectue une tournée nationale pour constater de visu le comportement des cultures et le niveau d’exécution de la distribution de l’engrais et des semences.
«Le ministre de l’Agriculture avait annoncé que les engrais ont été distribués ainsi que les semences. Malheureusement, les nombreux paysans que nous avons rencontrés se sont plaints de la qualité et de la quantité des semences reçues», a affirmé M. Ba. Il a fait état d’une situation alarmante en cette période d’hivernage. «Partout où nous sommes passés, dit-il, le constat est le même. L’approvisionnement en engrais fait défaut».