Face à la volonté de l’administration de privatiser le master, le collectif des étudiants en master de la Faculté des sciences juridiques et politiques (FSJP) dit niet. A cet effet, il a entamé un plan d’actions en suspendant les activités pédagogiques de la faculté. Cela, jusqu’à la publication de la liste des étudiants sélectionnés. Selon Amath Ndao, l'administration a décidé de ne pas les sélectionner en master sous prétexte qu’ils n’ont pas rempli les critères. Pourtant, dit-il, « nous avons rempli ces critères ».
Le problème, selon M. Ndao, c’est qu’il y a deux masters : professionnel et de recherche. Pour cette année, l’administration a jugé nécessaire de privatiser le master professionnel, peut-être pour des questions pécuniaires, mais ils ne connaissent pas les motifs de cette décision, prévient l’étudiant, rapporte L'As.
Ils refusent de payer pour aller en master. Pour contraindre l’administration à publier les listes des étudiants en master, le collectif a décidé de paralyser le système. Hier, le collectif a suspendu tous les cours et cela va continuer jusqu’à la publication des listes des sélectionnés. Les membres du collectif réclament leur inscription sur la plateforme pour percevoir leurs bourses à temps.
Le problème, selon M. Ndao, c’est qu’il y a deux masters : professionnel et de recherche. Pour cette année, l’administration a jugé nécessaire de privatiser le master professionnel, peut-être pour des questions pécuniaires, mais ils ne connaissent pas les motifs de cette décision, prévient l’étudiant, rapporte L'As.
Ils refusent de payer pour aller en master. Pour contraindre l’administration à publier les listes des étudiants en master, le collectif a décidé de paralyser le système. Hier, le collectif a suspendu tous les cours et cela va continuer jusqu’à la publication des listes des sélectionnés. Les membres du collectif réclament leur inscription sur la plateforme pour percevoir leurs bourses à temps.