Monsieur Abdou Karim Sall revient sur les cinq (5) jours où plusieurs points ont été notés dans leur agenda, notamment la vingt-septième session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (UNFCCC COP27), prévue au mois de novembre 2022 à Sharm el Sheikh, Égypte ;
de la quinzième session de la Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique (UNCBD-COP15) qui se tiendra au mois de décembre 2022 à Montréal ;
de l'état de mise en œuvre des résolutions adoptées lors de la cinquième Assemblée des Nations Unies pour l'environnement, avec un accent sur le développement d’un instrument international juridiquement contraignant sur la pollution plastique ;
de l’examen des résultats de la quinzième session de la Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification ;
de la gouvernance des sols en Afrique ;
de l'élimination progressive du brûlage à l'air libre des déchets ;
de la résistance antimicrobienne ;
du renforcement du rôle des agences de protection de l'environnement en Afrique ;
des progrès dans l'élaboration d'une stratégie africaine de gouvernance des océans ;
de la coordination de la CMAE avec les ministères des finances, de la planification et du développement économique, a-t-il rappelé.
A l'en croire, "La déclaration de Dakar que nous venons d’adopter est le fruit d’un compromis qui devrait permettre à l’Afrique de continuer à parler d’une seule voix sur toutes les questions environnementales qui interpellent notre continent".
Conscient des forces du continent, le Medd estime que cela est fort possible. "Pour ce faire, l’Afrique doit d’abord compter sur ses propres ressources avant de s’ouvrir vers des partenariats innovants pour sortir des sentiers battus. C’est tout le sens qu’il faut donner à nos contributions déterminées au niveau national dont la mise en œuvre repose à la fois sur les moyens propres de nos états et le soutien des partenaires au développement", a-t-il déclaré.
de la quinzième session de la Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique (UNCBD-COP15) qui se tiendra au mois de décembre 2022 à Montréal ;
de l'état de mise en œuvre des résolutions adoptées lors de la cinquième Assemblée des Nations Unies pour l'environnement, avec un accent sur le développement d’un instrument international juridiquement contraignant sur la pollution plastique ;
de l’examen des résultats de la quinzième session de la Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification ;
de la gouvernance des sols en Afrique ;
de l'élimination progressive du brûlage à l'air libre des déchets ;
de la résistance antimicrobienne ;
du renforcement du rôle des agences de protection de l'environnement en Afrique ;
des progrès dans l'élaboration d'une stratégie africaine de gouvernance des océans ;
de la coordination de la CMAE avec les ministères des finances, de la planification et du développement économique, a-t-il rappelé.
A l'en croire, "La déclaration de Dakar que nous venons d’adopter est le fruit d’un compromis qui devrait permettre à l’Afrique de continuer à parler d’une seule voix sur toutes les questions environnementales qui interpellent notre continent".
Conscient des forces du continent, le Medd estime que cela est fort possible. "Pour ce faire, l’Afrique doit d’abord compter sur ses propres ressources avant de s’ouvrir vers des partenariats innovants pour sortir des sentiers battus. C’est tout le sens qu’il faut donner à nos contributions déterminées au niveau national dont la mise en œuvre repose à la fois sur les moyens propres de nos états et le soutien des partenaires au développement", a-t-il déclaré.