Le président de l’association Saint-Louis Jazz a tiré un bilan positif quant à l’organisation du Festival international de Jazz. « Dès que la date est annoncée, tous les hôtels sont réservés », relève Me Ibrahima Diop, soulignant l’impact économique de l’événement.
Il a également relevé des difficultés relatives à la mobilisation des fonds pour l’organisation du festival. Ce qui l’amène à réitérer leur volonté, émise d’ailleurs depuis quelques années, de passer de l’association Saint-Louis jazz à une fondation Saint-Louis jazz.
Me Diop a, dans le même sillage, invité tous les Saint-Louisiens à se joindre à l’effort, car, a-t-il noté, il y en a qui organisent des évènements parallèles durant les jours du festival. Ce qui fait que, déplore-t-il, « nous même nous avons des problèmes à loger nos invités » parce tous les réceptifs ont fait l’objet de réservation.
« (…) que le festival soit assuré par Sunu »
Me Diop a manifesté leur intérêt de voir le festival international de jazz de Saint-Louis être assuré pour pouvoir faire face aux conséquences que pourraient occasionner d’éventuels accidents au cours de l’événement.
« Il y a une requête aussi que je formule et c’est que si le festival devait se faire, qu’il soit assuré par la compagnie d’assurances issue du groupe Sunu », a confié Me Ibrahima Diop à la directrice générale de la Bicis.
Me Diop explique, dans la foulée, que la sécurité incombe aux organisateurs du festival car, ajoute-t-il, s’il y a, par exemple, un incendie sur la scène, c’est l’association qui est d’abord interpellée.
Pour sa part, la nouvelle directrice générale de la Bicis a confié que « le festival, nul ne peut en douter, fait partie du calendrier culturel, du patrimoine de Saint-Louis, du Sénégal et pourquoi pas du monde ».
« La Bicis se réjouit d’accompagner l’organisation du festival international de jazz qui est une activité que les Saint-Louisiens devraient continuer d’organiser », a déclaré Ndeye Coumba Tew Aw.
Car, explique-t-elle, le festival enrichit le circuit touristique, culturel et économique que propose la vielle ville. Aujourd’hui encore, dit-elle, nous réitérons notre fidélité, à toute épreuve, et notre engagement à porter ce festival au sommet des activités culturelles du pays.
« Vous l’avez sans doute constaté, Bicis arbore d’autres couleurs. En effet, nous passons du vert, symbole de l’espoir au rouge de la consécration et de la plénitude pour être encore plus près de vous, rendre vos économies et vos projets plus florissants », martèle la nouvelle patronne de la Bicis.
(…) je serai à la hauteur des ambitions »
Nouvellement portée à la tête de la direction générale de la Bicis, Mme Aw a été interpellée sur les challenges qui sont devant elle en tant que première femme à occuper ce poste, surtout dans un contexte très concurrentiel. En ce sens, elle a brandi, en réponse à la question d’un journaliste, « l’expérience de 18 années acquise au sein de la banque et du groupe BNP Paris ».
« J’ai également acquis d’autres expériences en dehors de la Bicis », explique-t-elle avant d’ajouter qu’avec tout cela, elle sera à la hauteur des ambitions.
« Les défis sont là », avoue la directrice générale mais, d’après elle, avec des services de qualité et des produits adaptés, nous pourrons renforcer la part de marché de la banque et améliorer sa position dans le top 10 du classement bancaire au Sénégal. Chose souhaitée par les actionnaires.
Il a également relevé des difficultés relatives à la mobilisation des fonds pour l’organisation du festival. Ce qui l’amène à réitérer leur volonté, émise d’ailleurs depuis quelques années, de passer de l’association Saint-Louis jazz à une fondation Saint-Louis jazz.
Me Diop a, dans le même sillage, invité tous les Saint-Louisiens à se joindre à l’effort, car, a-t-il noté, il y en a qui organisent des évènements parallèles durant les jours du festival. Ce qui fait que, déplore-t-il, « nous même nous avons des problèmes à loger nos invités » parce tous les réceptifs ont fait l’objet de réservation.
« (…) que le festival soit assuré par Sunu »
Me Diop a manifesté leur intérêt de voir le festival international de jazz de Saint-Louis être assuré pour pouvoir faire face aux conséquences que pourraient occasionner d’éventuels accidents au cours de l’événement.
« Il y a une requête aussi que je formule et c’est que si le festival devait se faire, qu’il soit assuré par la compagnie d’assurances issue du groupe Sunu », a confié Me Ibrahima Diop à la directrice générale de la Bicis.
Me Diop explique, dans la foulée, que la sécurité incombe aux organisateurs du festival car, ajoute-t-il, s’il y a, par exemple, un incendie sur la scène, c’est l’association qui est d’abord interpellée.
Pour sa part, la nouvelle directrice générale de la Bicis a confié que « le festival, nul ne peut en douter, fait partie du calendrier culturel, du patrimoine de Saint-Louis, du Sénégal et pourquoi pas du monde ».
« La Bicis se réjouit d’accompagner l’organisation du festival international de jazz qui est une activité que les Saint-Louisiens devraient continuer d’organiser », a déclaré Ndeye Coumba Tew Aw.
Car, explique-t-elle, le festival enrichit le circuit touristique, culturel et économique que propose la vielle ville. Aujourd’hui encore, dit-elle, nous réitérons notre fidélité, à toute épreuve, et notre engagement à porter ce festival au sommet des activités culturelles du pays.
« Vous l’avez sans doute constaté, Bicis arbore d’autres couleurs. En effet, nous passons du vert, symbole de l’espoir au rouge de la consécration et de la plénitude pour être encore plus près de vous, rendre vos économies et vos projets plus florissants », martèle la nouvelle patronne de la Bicis.
(…) je serai à la hauteur des ambitions »
Nouvellement portée à la tête de la direction générale de la Bicis, Mme Aw a été interpellée sur les challenges qui sont devant elle en tant que première femme à occuper ce poste, surtout dans un contexte très concurrentiel. En ce sens, elle a brandi, en réponse à la question d’un journaliste, « l’expérience de 18 années acquise au sein de la banque et du groupe BNP Paris ».
« J’ai également acquis d’autres expériences en dehors de la Bicis », explique-t-elle avant d’ajouter qu’avec tout cela, elle sera à la hauteur des ambitions.
« Les défis sont là », avoue la directrice générale mais, d’après elle, avec des services de qualité et des produits adaptés, nous pourrons renforcer la part de marché de la banque et améliorer sa position dans le top 10 du classement bancaire au Sénégal. Chose souhaitée par les actionnaires.
Source : https://www.lejecos.com/Cloture-de-l-edition-2023-...