Ce mensonge a atrait à la Page 26 de son Livre, où le Colonel Abdoulaye Aziz Ndao écrit : «le mariage d’un de mes hommes me conduisit à Dahra, chez l’Imam de la mosquée Serigne Abdou Aziz SY de liberté 5. Ce djoloff djoloff, homme de grande érudition, me reçut avec beaucoup d’honneur avant la célébration du mariage de sa nièce, Marème Ndoumé NDIAYE, une commerçante qui se mariait avec le Major SIDIBE, mon ami et frère de la Gendarmerie.
En attendant que l’imam célèbre le mariage après la prière de 17 heures, je projetai d’aller rendre visite à la mère de mon ami, le Colonel Gouverneur qui est de Dahra. L’Imam NDIAYE refusa net et ne voulut rien comprendre de mes explications ou de mon amitié avec FALL ;
De retour à Dakar, je racontai ma mésaventure à la dame Marème NDIAYE SIDIBE qui me donna une explication que je ne pouvais comprendre et que je n’acceptais pas.
Pour elle, son oncle avait raison sur toute la ligne, car dans le Djoloff, il est impensable de sortir d’une maison de grande lignée pour entrer dans la maison des esclaves… ».
Eh bien, Actusen.com, pour savoir de quoi retournent ces affirmations du colonel Ndao, a tout mis en oeuvre pour mettre la main sur le fameux Imam en question. Mais votre site préféré a failli tomber des nues, quand l’Imam en question, chapelet à la main, a juré sur ce qu’il a de plus cher pour dire qu’il ne connaît ni d’Adam, ni d’Eve le Colonel Abdoul Aziz Ndao.
Très surpris par les écrits de ce dernier, quand nous les lui avons détaillés pour les besoins de notre entretien, l’Imam Youssoupha Ndiaye, plus connu à Dakar sous le pseudo Diop Ndiaye, persiste et signe : “d’abord, je ne connais pas le Colonel dont tu me parles. Tout comme, je ne connais aucun autre Colonel qui s’appelle Abdoul Aziz ou dont le nom de famille sonne Ndao”.
Poursuivant, l’homme de Dieu embraie : “ensuite, je suis d’autant plus surpris que je n’avais même pas effectué le déplacement à Dahra Djolof, encore moins dans une quelconque localité du département de Linguère, pour assister à un quelconque mariage. D’ailleurs, le jour du mariage dont le Colonel parle, s’il s’agit évidemment du mariage auquel je pense, j’étais ici à Dakar, au milieu de ma famille”.
Pour l’Imam, “autant le Colonel peut avoir été au mariage en question, autant il peut avoir connu un gendarme du nom de Sidibé à qui on avait donné la main de ma nièce-là, autant je n’y étais pas, je ne le connais pas et je ne l’ai jamais vu. D’ailleurs, seul mon frère sait pourquoi je n’avais pas assisté à ce mariage-là”.
S’il dit qu’il m’a une seule fois vu ou parlé dans mon existence, le Colonel en question ment sur toute la ligne , je n’ai même pas ce temps-là”
Le regard hagard, l’Imam Youssoupha Ndiaye, comme s’il cherchait à rassembler les lambeaux d’une existence que le Colonel Abdoul Aziz Ndao vient de faire voler en éclats, déclare : “je n’ai jamais vu ni entendu parler de ce Colonel-là. Je n’ai même pas ce temps-là, pour dire pareilles énormités sur mon prochain”.
D’autant que, dit l’Imam : “je n’ai vu le Général Abdoulaye Fall qu’à quatre reprises, notamment lors de la levée du corps de Moustapha Lô, du Général Daouda Niang, entre autres décès. Alors, s’il dit qu’il m’a une seule fois vu ou parlé, le Colonel en question ment sur toute la ligne”. Il ajoute : “tout ce que je sais, c’est que quand on m’a une fois présenté au Général Abdoulaye Fall, il m’avait dit qu’il viendrait me voir”.
Plus tard, narre Imam Youssoupha Ndiaye, “il (Ndlr : le Général Fall) m’a envoyé un gendarme, qui m’a remis une enveloppe contenant de l’argent, non sans s’excuser du rendez-vous qu’il ne saurait plus honorer, du fait d’un impair de dernière minute, lié à ses fonctions”. Alors, vous imaginez sans nul doute que je ne puis dire, en aucune façon, du mal de cet homme-là”.
L’Imam Youssoupha Ndiaye : “je demande au Général de ne jamais porter plainte contre ce Colonel-là. S’il ne peut pas lui pardonner, qu’il le laisse avec Dieu, seul maître du jour et de la nuit”
Pour autant, l’Imam, visiblement affecté par les propos à lui prêtés par le Colonel Ndao, de dire : “je demande au ci-devant ancien ambassadeur du Sénégal au Portugal de se référer à la meilleure des créatures, en l’occurrence le Prophète Mohamed (PSL). Qui a fait l’objet de toutes sortes de médisances, mais qui a toujours su relever la tête encore plus haut”.
“Si vous demandiez au Colonel mon nom, il serait incapable de vous le dire”
Poursuivant, l’Imam renchérit : “j’imagine le mal qui doit le ranger et je comprends aussi qu’en bon Djolof-Djolof, le Général Abdoulaye Fall ait, compte tenu des accusations dont j’ai entendu parler dans les radios, jugé utile de démissionner de ses fonctions, mais dîtes lui qu’il n’aurait pas dû le faire. Ou du moins, pas à cause de ce Colonel qui a osé me prêter des propos ô combien gravissimes, alors qu’il ne m’a jamais vu ni connu”.
S’y ajoute, dit-il, “si vous demandiez au Colonel comment je m’appelle, il serait incapable de vous dire mon nom. De rares personnes connaissent mon vrai nom. On m’appelle Diop Ndiaye, mais je me nomme Youssoupha Ndiaye”.
Enfin, “dites au Général que s’il évalue tout son cursus, depuis l’école élémentaire jusqu’au Haut Commandement de la Gendarmerie, il doit savoir que quel que soit ce que le Colonel lui a dit, cela ne devrait jamais le déranger, au point de poursuivre ce dernier en justice. S’il ne peut pas lui pardonner, qu’il le laisse avec le meilleur juge, Dieu, le seul maître des jours et des nuits”, affirme-t-il.
En attendant que l’imam célèbre le mariage après la prière de 17 heures, je projetai d’aller rendre visite à la mère de mon ami, le Colonel Gouverneur qui est de Dahra. L’Imam NDIAYE refusa net et ne voulut rien comprendre de mes explications ou de mon amitié avec FALL ;
De retour à Dakar, je racontai ma mésaventure à la dame Marème NDIAYE SIDIBE qui me donna une explication que je ne pouvais comprendre et que je n’acceptais pas.
Pour elle, son oncle avait raison sur toute la ligne, car dans le Djoloff, il est impensable de sortir d’une maison de grande lignée pour entrer dans la maison des esclaves… ».
Eh bien, Actusen.com, pour savoir de quoi retournent ces affirmations du colonel Ndao, a tout mis en oeuvre pour mettre la main sur le fameux Imam en question. Mais votre site préféré a failli tomber des nues, quand l’Imam en question, chapelet à la main, a juré sur ce qu’il a de plus cher pour dire qu’il ne connaît ni d’Adam, ni d’Eve le Colonel Abdoul Aziz Ndao.
Très surpris par les écrits de ce dernier, quand nous les lui avons détaillés pour les besoins de notre entretien, l’Imam Youssoupha Ndiaye, plus connu à Dakar sous le pseudo Diop Ndiaye, persiste et signe : “d’abord, je ne connais pas le Colonel dont tu me parles. Tout comme, je ne connais aucun autre Colonel qui s’appelle Abdoul Aziz ou dont le nom de famille sonne Ndao”.
Poursuivant, l’homme de Dieu embraie : “ensuite, je suis d’autant plus surpris que je n’avais même pas effectué le déplacement à Dahra Djolof, encore moins dans une quelconque localité du département de Linguère, pour assister à un quelconque mariage. D’ailleurs, le jour du mariage dont le Colonel parle, s’il s’agit évidemment du mariage auquel je pense, j’étais ici à Dakar, au milieu de ma famille”.
Pour l’Imam, “autant le Colonel peut avoir été au mariage en question, autant il peut avoir connu un gendarme du nom de Sidibé à qui on avait donné la main de ma nièce-là, autant je n’y étais pas, je ne le connais pas et je ne l’ai jamais vu. D’ailleurs, seul mon frère sait pourquoi je n’avais pas assisté à ce mariage-là”.
S’il dit qu’il m’a une seule fois vu ou parlé dans mon existence, le Colonel en question ment sur toute la ligne , je n’ai même pas ce temps-là”
Le regard hagard, l’Imam Youssoupha Ndiaye, comme s’il cherchait à rassembler les lambeaux d’une existence que le Colonel Abdoul Aziz Ndao vient de faire voler en éclats, déclare : “je n’ai jamais vu ni entendu parler de ce Colonel-là. Je n’ai même pas ce temps-là, pour dire pareilles énormités sur mon prochain”.
D’autant que, dit l’Imam : “je n’ai vu le Général Abdoulaye Fall qu’à quatre reprises, notamment lors de la levée du corps de Moustapha Lô, du Général Daouda Niang, entre autres décès. Alors, s’il dit qu’il m’a une seule fois vu ou parlé, le Colonel en question ment sur toute la ligne”. Il ajoute : “tout ce que je sais, c’est que quand on m’a une fois présenté au Général Abdoulaye Fall, il m’avait dit qu’il viendrait me voir”.
Plus tard, narre Imam Youssoupha Ndiaye, “il (Ndlr : le Général Fall) m’a envoyé un gendarme, qui m’a remis une enveloppe contenant de l’argent, non sans s’excuser du rendez-vous qu’il ne saurait plus honorer, du fait d’un impair de dernière minute, lié à ses fonctions”. Alors, vous imaginez sans nul doute que je ne puis dire, en aucune façon, du mal de cet homme-là”.
L’Imam Youssoupha Ndiaye : “je demande au Général de ne jamais porter plainte contre ce Colonel-là. S’il ne peut pas lui pardonner, qu’il le laisse avec Dieu, seul maître du jour et de la nuit”
Pour autant, l’Imam, visiblement affecté par les propos à lui prêtés par le Colonel Ndao, de dire : “je demande au ci-devant ancien ambassadeur du Sénégal au Portugal de se référer à la meilleure des créatures, en l’occurrence le Prophète Mohamed (PSL). Qui a fait l’objet de toutes sortes de médisances, mais qui a toujours su relever la tête encore plus haut”.
“Si vous demandiez au Colonel mon nom, il serait incapable de vous le dire”
Poursuivant, l’Imam renchérit : “j’imagine le mal qui doit le ranger et je comprends aussi qu’en bon Djolof-Djolof, le Général Abdoulaye Fall ait, compte tenu des accusations dont j’ai entendu parler dans les radios, jugé utile de démissionner de ses fonctions, mais dîtes lui qu’il n’aurait pas dû le faire. Ou du moins, pas à cause de ce Colonel qui a osé me prêter des propos ô combien gravissimes, alors qu’il ne m’a jamais vu ni connu”.
S’y ajoute, dit-il, “si vous demandiez au Colonel comment je m’appelle, il serait incapable de vous dire mon nom. De rares personnes connaissent mon vrai nom. On m’appelle Diop Ndiaye, mais je me nomme Youssoupha Ndiaye”.
Enfin, “dites au Général que s’il évalue tout son cursus, depuis l’école élémentaire jusqu’au Haut Commandement de la Gendarmerie, il doit savoir que quel que soit ce que le Colonel lui a dit, cela ne devrait jamais le déranger, au point de poursuivre ce dernier en justice. S’il ne peut pas lui pardonner, qu’il le laisse avec le meilleur juge, Dieu, le seul maître des jours et des nuits”, affirme-t-il.