Les 402 victimes de la Cité Tobago, jouxtant le mur de l’aéroport du côté de la Vdn, ne savent plus où donner de la tête. Pis, leur espoir s’est rétréci comme peau de chagrin d’autant que le processus d’indemnisation qui était sur les rails a connu un brusque coup d’arrêt.
Un déraillement qui laissent ces mères et pères de familles pantois. Pourtant, la Primature, qui pilotait le dossier, soutient l’avoir transmis au Chef de l’Etat pour approbation. Mais, depuis, c’est silence radio. Un mutisme qui intrigue les victimes qui craignent que leur sort ne tombe dans l’oubli.
Le même sentiment anime ceux dont les maisons n’ont pas été détruites. Même si certains ont engagé des travaux d’embellissement, voire d’agrandissement, alors que l’autorité y avait interdit tout coup de pioche, ils craignent qu’un matin des bulldozers se pointent à Tobago pour réduire en poussière leurs habitations. Alors qu’ils y vivent avec leur famille.
Un véritable drame pour ces victimes dont deux ont été rappelées à Dieu, laissant derrière eux des familles sans logis et dépourvues de toutes ressources financières. Des situations auxquelles l’Etat ne peut pas rester insensible. D’autant que ses services ont laissé, voir encouragé, ces habitations sortir de terre comme des champignons. Sans lever le plus petit doigt. Donc, il incombe à l’État de réparer le préjudice subi.
Un déraillement qui laissent ces mères et pères de familles pantois. Pourtant, la Primature, qui pilotait le dossier, soutient l’avoir transmis au Chef de l’Etat pour approbation. Mais, depuis, c’est silence radio. Un mutisme qui intrigue les victimes qui craignent que leur sort ne tombe dans l’oubli.
Le même sentiment anime ceux dont les maisons n’ont pas été détruites. Même si certains ont engagé des travaux d’embellissement, voire d’agrandissement, alors que l’autorité y avait interdit tout coup de pioche, ils craignent qu’un matin des bulldozers se pointent à Tobago pour réduire en poussière leurs habitations. Alors qu’ils y vivent avec leur famille.
Un véritable drame pour ces victimes dont deux ont été rappelées à Dieu, laissant derrière eux des familles sans logis et dépourvues de toutes ressources financières. Des situations auxquelles l’Etat ne peut pas rester insensible. D’autant que ses services ont laissé, voir encouragé, ces habitations sortir de terre comme des champignons. Sans lever le plus petit doigt. Donc, il incombe à l’État de réparer le préjudice subi.