Nous travaillons avec une équipe que nous avons trouvée sur place, pour assurer le service des œuvres universitaires des étudiants des universités de Dakar, Thiès, Bambey et Ziguinchor. Nous le faisons dans le respect des missions qui nous sont attribués », c’est du moins l’avis du directeur général du centre des œuvres universitaires de Dakar ( Coud), Cheikh Omar Anne qui pense travailler pour apaiser l’espace universitaire, en mettant en place un dispositif de dialogue et de communication avec nos différents partenaires, à savoir, les travailleurs et leurs organisations, les étudiants et leurs représentants.
Le directeur considère, depuis un certains, dans les différents campus sociaux, particulièrement à Dakar, nous avons une stabilité, relativement à ce qui se faisait. « Nous continuerons à œuvrer en mettant en place des canaux qui nous permettront de communiquer et de résoudre les problèmes », dit-il.
Selon lui, la restauration universitaire est gérée avec des repreneurs qui sont des privés à qui nous confions notre mission de servir des repas des étudiants, sur la base d’un cahier de charge et d’appel d’offres fait sur la base du code des marchés publics. Cette année, nous avons eu des difficultés avec les restaurants de l’Esp et de l’Ensetp, parce que nous avons eu des problèmes pour faire démarrer les repreneurs, qui considéraient qu’on leur devait de l’argent.
"En réalité, nous devons au repreneur du restaurant de l’Ensetp environ 70 millions FCFA, nous lui avons fait une avance de 40 millions. A celui de l’Esp, nous devons à peu près 140 millions FCFA et nous avons fait une avance de 70 millions. Il faut savoir qu’aujourd’hui, la facture que nous devons aux restaurants universitaires s’élève globalement à 4 milliards FCFA. Mais c’est une situation normale. Les procédures de facturation font que nous payons après le service des repas servis du mois d’octobre au mois de décembre est payé dans le budget de l’année suivante. Mais l’Etat fait des efforts en nous octroyant des apports budgétaires pour régler au besoin ces situations."
Pour M. Hanne, "c’est ce qui a permis de régler les factures de ces deux repreneurs. Mais les raisons pour lesquelles ceux de l’Esp et de l’Ensetp n’ont pas repris, n’ont rien à voir avec le contrat qui nous lie avec la pratique dans le campus universitaire. Nous considérons qu’ils gèrent des restaurants à petite capacité, qui nécessitent une rigueur et des capacités financières que ces fournisseurs ont des difficultés à nous prouver. C’est d’ailleurs la premier fois dans l’histoire du Coud qu’on est confronté à des repreneurs à qui ont fait des avances de démarrage en début d’année et qui refusent de reprendre le service. L’Esp et l’Enspt sont des écoles de formation, les étudiants ont eu à faire une grève pour que les restaurants démarrent, et depuis le mois d’octobre, nous avons envoyé des lettres à ces repreneurs pour leur demander de démarrer, ce qu’ils ont refusé".
Thierno Malick Ndiaye avec l’Obs
Le directeur considère, depuis un certains, dans les différents campus sociaux, particulièrement à Dakar, nous avons une stabilité, relativement à ce qui se faisait. « Nous continuerons à œuvrer en mettant en place des canaux qui nous permettront de communiquer et de résoudre les problèmes », dit-il.
Selon lui, la restauration universitaire est gérée avec des repreneurs qui sont des privés à qui nous confions notre mission de servir des repas des étudiants, sur la base d’un cahier de charge et d’appel d’offres fait sur la base du code des marchés publics. Cette année, nous avons eu des difficultés avec les restaurants de l’Esp et de l’Ensetp, parce que nous avons eu des problèmes pour faire démarrer les repreneurs, qui considéraient qu’on leur devait de l’argent.
"En réalité, nous devons au repreneur du restaurant de l’Ensetp environ 70 millions FCFA, nous lui avons fait une avance de 40 millions. A celui de l’Esp, nous devons à peu près 140 millions FCFA et nous avons fait une avance de 70 millions. Il faut savoir qu’aujourd’hui, la facture que nous devons aux restaurants universitaires s’élève globalement à 4 milliards FCFA. Mais c’est une situation normale. Les procédures de facturation font que nous payons après le service des repas servis du mois d’octobre au mois de décembre est payé dans le budget de l’année suivante. Mais l’Etat fait des efforts en nous octroyant des apports budgétaires pour régler au besoin ces situations."
Pour M. Hanne, "c’est ce qui a permis de régler les factures de ces deux repreneurs. Mais les raisons pour lesquelles ceux de l’Esp et de l’Ensetp n’ont pas repris, n’ont rien à voir avec le contrat qui nous lie avec la pratique dans le campus universitaire. Nous considérons qu’ils gèrent des restaurants à petite capacité, qui nécessitent une rigueur et des capacités financières que ces fournisseurs ont des difficultés à nous prouver. C’est d’ailleurs la premier fois dans l’histoire du Coud qu’on est confronté à des repreneurs à qui ont fait des avances de démarrage en début d’année et qui refusent de reprendre le service. L’Esp et l’Enspt sont des écoles de formation, les étudiants ont eu à faire une grève pour que les restaurants démarrent, et depuis le mois d’octobre, nous avons envoyé des lettres à ces repreneurs pour leur demander de démarrer, ce qu’ils ont refusé".
Thierno Malick Ndiaye avec l’Obs