Interpellé sur les tensions qui prévalent actuellement dans le pays, Charles Émile Abdou Ciss a laissé entendre qu’il n’a pas peur, car les tensions vont s’apaiser parce qu’il croit savoir que «le Président Macky Sall est bien intentionné».
Si par contre, relève-t-il, «il y a de mauvaises intentions derrière, il y a de fortes chances que la tension dégénère malheureusement, ce qui n’est pas souhaitable». Poursuivant l’ancien directeur de dire : «Je crois savoir que les acteurs politiques qui sont-là , sont dignes de confiance, de ne pas créer encore une fois une situation inédite pour le Sénégal, une situation qui serait ingérable, où des gens en profiteraient pour mettre en œuvre peut-être des projets mal intentionnés. C’est ce que nous souhaitons. Le dernier aspect est, je le rappelle, qu’il y a une vie après le pouvoir».
Pour Émile Charles Ciss, «il appartient à l’État d’organiser, d’encadrer les marches de l’opposition parce que c’est lui qui détient le monopole de la force régalienne, mais aussi le monopole de la contrainte légitime. Les forces de défense et de sécurité sont à la disposition de l’État, donc, c’est l’État d’avoir cette intelligence étatique, vraiment administrative de pouvoir faire organiser ces activités politiques de l’opposition, de telle façon qu’elle puisse ne pas nuire aux Sénégalais».
Selon l’ancien directeur de la Solde, par ailleurs président de la coalition Ëlëgu Sénégal, «la responsabilité de tout le monde est engagée dans un pays, du président de la République en passant par l’enseignant, le préfet, le pêcheur, bref tout le monde. Mais la responsabilité suprême, c’est le président de la République. Chacun a une part et chacun doit jouer sa part».
Mais, précise-t-il, «il y a un responsable, celui qui a été élu ; et jusqu’ici il a le monopole de préserver les acquis démocratiques, la stabilité du pays et de permettre qu’il y ait des élections transparentes. Des élections où on ne cherche pas à éliminer des candidats par des machinations peut-être électorales, mais également où on ne cherche pas coûte que coûte à choisir ses adversaires. Je pense que cela ne relève pas de l’élégance démocratique».
Et, ajoute-t-il, «il est important de rappeler que les scrutins au Sénégal ont toujours été des scrutins libres, ouverts, où des gens ont pu conquérir le pouvoir de manière légitime, et s’ils ont perdu également, ils ont reconnu dignement leur défaite».
Revenant sur son passage à la direction de la solde, Émile Charles Abdou Ciss de dire : «Nous avions la noble intention d’améliorer les conditions de vie et d’exercice de leur fonction des différents travailleurs de l’État où qu’ils puissent se trouver sur le territoire national ou en dehors».
Alors, explique-t-il, «aujourd’hui nous sommes responsables de la coalition Ëlëgu Sénégal, des citoyens sénégalais nous ont fait confiance, et il est important que nous puissions aller vers eux, vers tous ceux qui aujourd’hui vivent au Sénégal pour avoir une idée, avoir également des informations concrètes sur la situation de ce pays, mais aussi, sur les solutions concrètes et pragmatiques qui permettront au Sénégal de sortir du marasme économique», laisse-t-il entendre.
Concernant son départ de la direction de la solde, Émile Charles Ciss déclare «parfois vous entamez des reformes pour le bien de la nation, pour le bien des travailleurs, ou bien de tous les agents de l’État mais certains malheureusement par absence de lumière, parfois aussi par absence de spiritualité mais aussi de compréhension du message du peuple vous mettent inutilement les bâtons dans les roues, essaient de ternir votre bilan, essaie également de détruire votre image et Dieu seul sait pourquoi ils le font», se désole le président de la coalition Ëlëgu Sénégal
Il pense savoir qu’il y a chez ceux qui le font, «une sorte de misère spirituelle qui est de ne pas comprendre les besoins des gens. Et de ne pas avoir aussi la profondeur d’accepter l’autre, avoir cet altruisme spirituel qui vous permet de considérer que l’autre c’est aussi moi, les résultats qu’il fait ce sont aussi mes résultats. Parce que ce sont des résultats qui sont destinés à améliorer le sort du peuple», regrette-t-il.
Tribune
Si par contre, relève-t-il, «il y a de mauvaises intentions derrière, il y a de fortes chances que la tension dégénère malheureusement, ce qui n’est pas souhaitable». Poursuivant l’ancien directeur de dire : «Je crois savoir que les acteurs politiques qui sont-là , sont dignes de confiance, de ne pas créer encore une fois une situation inédite pour le Sénégal, une situation qui serait ingérable, où des gens en profiteraient pour mettre en œuvre peut-être des projets mal intentionnés. C’est ce que nous souhaitons. Le dernier aspect est, je le rappelle, qu’il y a une vie après le pouvoir».
Pour Émile Charles Ciss, «il appartient à l’État d’organiser, d’encadrer les marches de l’opposition parce que c’est lui qui détient le monopole de la force régalienne, mais aussi le monopole de la contrainte légitime. Les forces de défense et de sécurité sont à la disposition de l’État, donc, c’est l’État d’avoir cette intelligence étatique, vraiment administrative de pouvoir faire organiser ces activités politiques de l’opposition, de telle façon qu’elle puisse ne pas nuire aux Sénégalais».
Selon l’ancien directeur de la Solde, par ailleurs président de la coalition Ëlëgu Sénégal, «la responsabilité de tout le monde est engagée dans un pays, du président de la République en passant par l’enseignant, le préfet, le pêcheur, bref tout le monde. Mais la responsabilité suprême, c’est le président de la République. Chacun a une part et chacun doit jouer sa part».
Mais, précise-t-il, «il y a un responsable, celui qui a été élu ; et jusqu’ici il a le monopole de préserver les acquis démocratiques, la stabilité du pays et de permettre qu’il y ait des élections transparentes. Des élections où on ne cherche pas à éliminer des candidats par des machinations peut-être électorales, mais également où on ne cherche pas coûte que coûte à choisir ses adversaires. Je pense que cela ne relève pas de l’élégance démocratique».
Et, ajoute-t-il, «il est important de rappeler que les scrutins au Sénégal ont toujours été des scrutins libres, ouverts, où des gens ont pu conquérir le pouvoir de manière légitime, et s’ils ont perdu également, ils ont reconnu dignement leur défaite».
Revenant sur son passage à la direction de la solde, Émile Charles Abdou Ciss de dire : «Nous avions la noble intention d’améliorer les conditions de vie et d’exercice de leur fonction des différents travailleurs de l’État où qu’ils puissent se trouver sur le territoire national ou en dehors».
Alors, explique-t-il, «aujourd’hui nous sommes responsables de la coalition Ëlëgu Sénégal, des citoyens sénégalais nous ont fait confiance, et il est important que nous puissions aller vers eux, vers tous ceux qui aujourd’hui vivent au Sénégal pour avoir une idée, avoir également des informations concrètes sur la situation de ce pays, mais aussi, sur les solutions concrètes et pragmatiques qui permettront au Sénégal de sortir du marasme économique», laisse-t-il entendre.
Concernant son départ de la direction de la solde, Émile Charles Ciss déclare «parfois vous entamez des reformes pour le bien de la nation, pour le bien des travailleurs, ou bien de tous les agents de l’État mais certains malheureusement par absence de lumière, parfois aussi par absence de spiritualité mais aussi de compréhension du message du peuple vous mettent inutilement les bâtons dans les roues, essaient de ternir votre bilan, essaie également de détruire votre image et Dieu seul sait pourquoi ils le font», se désole le président de la coalition Ëlëgu Sénégal
Il pense savoir qu’il y a chez ceux qui le font, «une sorte de misère spirituelle qui est de ne pas comprendre les besoins des gens. Et de ne pas avoir aussi la profondeur d’accepter l’autre, avoir cet altruisme spirituel qui vous permet de considérer que l’autre c’est aussi moi, les résultats qu’il fait ce sont aussi mes résultats. Parce que ce sont des résultats qui sont destinés à améliorer le sort du peuple», regrette-t-il.
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