Satnav/Amicale des cadres de Dakarnave demande et lance un appel aux nouvelles autorités (son Excellence Bassirou Diomaye Faye, son Premier ministre et le ministère de la Pêche et des Infrastructures portuaires), d’arrêter ce processus et d’impliquer toutes les parties prenantes. Un chantier d’une telle grandeur, où on répare des bateaux et structures flottantes qui vont participer activement dans l’exploitation du pétrole et du gaz, qui est l’avenir de l’économie, ne doit pas être bradé. D’après eux, ce contrat doit être annulé et impliquer les travailleurs dans l’élaboration du plan social, pour prendre en charge leurs attentes et aspirations et leurs expertises afin d’assurer un legs aux générations futures.
Ailleurs, l'Amicale des cadres de Dakarnave tient à exprimer ses vives félicitations, à la suite de l’élection à la tête du pays de Bassirou Diomaye Faye. Elle lui exprime ses dispositions les meilleures, pour l’accompagner dans son exaltante mission. Et, elle souhaite entretenir des enjeux de la réparation navale dans leur pas, relativement au choix d'un nouvel opérateur pour la reprise de la concession des chantiers navals de Dakar.
L’amicale rappelle que la concession actuelle prendra fin à la date du 24 juin 2024, après vingt-cinq années de mise en œuvre aux résultats fortement mitigés. « C'est dans ces circonstances que nous avons appris que la concession est attribuée à un opérateur turc, dont les références de compétence nous sont totalement inconnues à ce jour. Cette nouvelle attribution, si elle est avérée, pourrait être un saut dans l'inconnu avec un risque réel pour la pérennisation des emplois et la conservation des acquis pour mille (1000) travailleurs et pères de famille », a dénoncé l’Amicale.
D’après les membres de l’Amicale, la reprise d'une telle infrastructure devrait être le fruit d'un long processus au cours duquel, les conditions ci-dessous doivent être respectées : Préparer un Appel d'offres concurrentiel sur la base d'un cahier de charges ambitieux et structurant; s'assurer des capacités réelles et dument prouvées du soumissionnaire, pour faire face aux défis, notamment liés à l'exploitation du pétrole et du gaz; exiger l'engagement ferme du contractant à relever le plateau technique du chantier au meilleur standard international; prévoir une période de transition durant laquelle l'actuel et le nouveau concessionnaire collaborent pour
une continuité du service; impliquer les travailleurs dans l'élaboration du plan social pour prendre en charge leurs attentes et aspirations.
Malheureusement, l’Amicale est au regret de constater le non-respect de ces cinq exigences minimales, dont l'application permet un choix transparent et constructif au profit du Sénégal. Et, au nom de votre appel solennel à la transparence et au patriotisme économique, l’Amicale demande de bien vouloir faire suspendre le processus d'attribution en cours. Cette suspension, relève-t-on, devrait aider à y voir plus clair, afin de garantir et de préserver les intérêts vitaux du Sénégal. Enfin, l’organisation tient à rappeler qu'elle est guidée par la préservation des seuls intérêts du Sénégal, peu importe l'opérateur choisi. Mais, elle s'abstient d'interférer dans tout processus transparent et constructif pour le rayonnement de la réparation navale au Sénégal.
Ailleurs, l'Amicale des cadres de Dakarnave tient à exprimer ses vives félicitations, à la suite de l’élection à la tête du pays de Bassirou Diomaye Faye. Elle lui exprime ses dispositions les meilleures, pour l’accompagner dans son exaltante mission. Et, elle souhaite entretenir des enjeux de la réparation navale dans leur pas, relativement au choix d'un nouvel opérateur pour la reprise de la concession des chantiers navals de Dakar.
L’amicale rappelle que la concession actuelle prendra fin à la date du 24 juin 2024, après vingt-cinq années de mise en œuvre aux résultats fortement mitigés. « C'est dans ces circonstances que nous avons appris que la concession est attribuée à un opérateur turc, dont les références de compétence nous sont totalement inconnues à ce jour. Cette nouvelle attribution, si elle est avérée, pourrait être un saut dans l'inconnu avec un risque réel pour la pérennisation des emplois et la conservation des acquis pour mille (1000) travailleurs et pères de famille », a dénoncé l’Amicale.
D’après les membres de l’Amicale, la reprise d'une telle infrastructure devrait être le fruit d'un long processus au cours duquel, les conditions ci-dessous doivent être respectées : Préparer un Appel d'offres concurrentiel sur la base d'un cahier de charges ambitieux et structurant; s'assurer des capacités réelles et dument prouvées du soumissionnaire, pour faire face aux défis, notamment liés à l'exploitation du pétrole et du gaz; exiger l'engagement ferme du contractant à relever le plateau technique du chantier au meilleur standard international; prévoir une période de transition durant laquelle l'actuel et le nouveau concessionnaire collaborent pour
une continuité du service; impliquer les travailleurs dans l'élaboration du plan social pour prendre en charge leurs attentes et aspirations.
Malheureusement, l’Amicale est au regret de constater le non-respect de ces cinq exigences minimales, dont l'application permet un choix transparent et constructif au profit du Sénégal. Et, au nom de votre appel solennel à la transparence et au patriotisme économique, l’Amicale demande de bien vouloir faire suspendre le processus d'attribution en cours. Cette suspension, relève-t-on, devrait aider à y voir plus clair, afin de garantir et de préserver les intérêts vitaux du Sénégal. Enfin, l’organisation tient à rappeler qu'elle est guidée par la préservation des seuls intérêts du Sénégal, peu importe l'opérateur choisi. Mais, elle s'abstient d'interférer dans tout processus transparent et constructif pour le rayonnement de la réparation navale au Sénégal.